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Daniel Barenboïm

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Message par Fée Violine Dim 13 Jan 2008 - 22:09

13/01/2008 - 15:49
Barenboïm prend la nationalité palestinienne

Le pianiste et chef d'orchestre israélien, Daniel Barenboïm, a acquis la nationalité palestinienne. "C'est pour moi un grand honneur de me voir offrir un passeport palestinien", a expliqué samedi cet artisan de la paix entre l'Etat hébreu et les territoires, à l'issue d'un récital donné à Ramallah, ville de Cisjordanie où il oeuvre pour favoriser les échanges entre jeunes musiciens arabes et israéliens.

(Journal du Dimanche)
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Message par Fée Violine Dim 13 Jan 2008 - 22:12

Le pianiste israélien Barenboïm reçoit la nationalité palestinienne

13/01/2008 18:02

Le pianiste et chef d'orchestre israélo-argentin Daniel Barenboïm a acquis samedi la nationalité palestinienne. Celle-ci lui a été octroyée pour son implication en faveur du peuple palestinien et de la paix au Proche-Orient, a indiqué le parlementaire palestinien et ex-candidat à la présidence Mustafa Barghouti.

M. Barenboïm est probablement la seule personne au monde qui possède à la fois un passeport israélien et palestinien, a ajouté M. Barghouti. Le pianiste a cofondé en 1999, avec l'auteur palestinien décédé Edward Said, le West-Eastern Divan Orchestra. La formation compte une nonantaine de musiciens d'origine européenne, israélienne et arabe. (NLE)

(Le Vif/L'Express)
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Message par pacalou Dim 27 Jan 2008 - 21:35

Je ne sais que penser...
C'est évidemment une louable intention, que d'oeuvrer pour unir des gens qui s'entretuent;
Je me demande si les palestiniens n'ont pas besoin de tels individus pour leur propagande;
Je n'ai pas confiance... Ce sont des musulmans, et Barenboim est pê bien naif; il pourrait bien n'être qu'un "idiot utile" des palestiniens? Comme ce chrétiens libanais dt j'ai lu le surprenant engagement contre nature ds le hezbollah; il est vrai que le général Aoun lui_même n'est pas clair...

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Message par Fée Violine Dim 27 Jan 2008 - 22:13

palestinien n'est pas synonyme de musulman. Il y a des Palestiniens chrétiens. Il y a des Israéliens musulmans ou chrétiens ou autre chose.
Daniel Barenboim fait de la musique avec tout le monde ensemble. Pourquoi serait-ce un problème ?
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Message par pacalou Dim 27 Jan 2008 - 22:19

Fée Violine a écrit:palestinien n'est pas synonyme de musulman. Il y a des Palestiniens chrétiens. Il y a des Israéliens musulmans ou chrétiens ou autre chose.
Daniel Barenboim fait de la musique avec tout le monde ensemble. Pourquoi serait-ce un problème ?

Si, palestinien, aujourd'hui= musulman!
Les palestiniens chrétiens sont devenus quantité si négligeable qu'on redoute leur complète disparition... 2%, c'est peu! A Bethléem, on a fêté Noêl en redoutant de faire sonner les cloches alors que les musulmans font résonner à tout bout de champ les appels du muezzin ds des hauts parleurs... (enfin, c'est ce qu'on peut lire ds des revues catholiques...)

Mais faire de la musique avec des gens de toutes origines, c'est merveilleux, soit...

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Daniel Barenboïm Empty UN TYPE BIEN : DANIEL BARENBOIM

Message par Joss Sam 9 Aoû 2008 - 22:00

Un type bien qui ne fait pas que blablater mais agit et s'engage et plonge les mains dans le camboui avec courage : DANIEL BARENBOIM



BRAVO MEC
👏 BRAVO MEC 👏 BRAVO MEC 👏 BRAVO MEC 👏




Concert de Daniel Barenboïm

lundi 25 août 2008 - Paris
Avis aux mélomanes pour le 25 août

Le concert parisien aura lieu le lundi 25 août à 20 heures à la Salle Pleyel, 252 rue du Faubourg St-Honoré, 75008 Paris (M° Ternes). Billets à partir de 44,00 €.

Notre ami le célèbre chef d’orchestre et musicien israélien Daniel Barenboïm sera à Paris le 25 août, où il donnera un concert avec son West-Eastern Divan Orchestra, accompagné des musiciens Waltraud Meier, René Pape et Simon O’Neill. Barenboïm réalise un travail admirable pour promouvoir l’entente entre Israéliens et Palestiniens en les faisant jouer ensemble dans cet orchestre, créant l’harmonie dans tous les sens du terme.

Il dispense aussi un enseignement musical à de jeunes Palestiniens, les sortant de la désespérance dans lequel l’occupation les enferme. Au mois de février, Daniel Barenboïm a pris une initiative exceptionnelle : il a acquis la nationalité palestinienne
. Musicien et humaniste de renommée internationale, Barenboïm a expliqué : « J’ai souvent eu l’occasion d’affirmer que le destin des peuples palestinien et israélien étaient inextricablement liés et qu’il n’y avait pas de solution militaire à leur conflit. En prenant aujourd’hui la nationalité palestinienne, je peux donner corps à ces convictions. (…) Le conflit israélo-palestinien se caractérise depuis toujours par l’incapacité à entendre la voix de l’autre. Si l’idée juive européenne qui a donné naissance à l’État d’Israël doit encore avoir une résonance dans le futur, elle devra faire chœur avec l’identité palestinienne. (…) Pour ma part, en acceptant la nationalité palestinienne, j’assume pleinement le destin de ce peuple, que, en tant qu’Israélien, je partage de fait. »

Vous pouvez les réserver à la salle Pleyel, à la FNAC ou sur le site www.fnac.com.




Daniel Barenboim : "Je rêve qu’Israéliens et Palestiniens aient le courage d’affronter le passé"

publié le vendredi 25 juillet 2008

Le Monde - Raphaëlle Bacqué et Annick Cojean

Il n’y a pas de jour sans que je ne réfléchisse au conflit israélo-palestinien. Et il n’y a pas de jour sans qu’il me fasse souffrir. Tout ce que je fais est inspiré de cette souffrance, de cette blessure que le temps ne fait qu’augmenter.

Que je dirige à Berlin, que je fonde l’orchestre Divan, composé d’Israéliens et d’Arabes, ou que je donne, comme récemment à Jérusalem, un concert à destination de nos deux peuples. Ce conflit me ronge, m’obsède. Avoir serré, enfant, les mains de David Ben Gourion ou de Moshe Dayan ne m’a guère converti à la politique. Je considère que politiques et militaires n’ont fait qu’envenimer le conflit. Un conflit dont les racines sont profondément et uniquement humaines. C’est pour cela que je me sens qualifié pour évoquer le sujet. Cela fait si longtemps que je rêve à la "solution".


Je suis né en Argentine en 1942. Mes grands-parents, paternels et maternels, étaient des juifs russes qui avaient fui les pogroms en 1904. Je n’ai jamais demandé beaucoup de détails, mais l’histoire de mes grands-parents maternels m’a toujours fasciné. Tous deux avaient entrepris seuls le périlleux voyage ; elle, à 14 ans, lui, à 16 ans. A l’arrivée de leur bateau, les autorités argentines annoncèrent que seules les familles auraient le droit de débarquer. "Marions-nous !", a suggéré mon grand-père. Ce qu’ils firent, avant de débarquer, puis de se séparer, de se retrouver par hasard, deux ou trois ans après, et de tomber amoureux. "En fait, il était déjà amoureux de moi sur le bateau", a toujours dit ma grand-mère.

C’était une fervente sioniste. En 1929, elle est même partie six mois en Palestine, ses trois filles sous le bras (y compris ma mère, qui avait alors 17 ans) pour voir s’il était possible de s’y installer. La famille de mon père, en revanche, était totalement assimilée, et l’idée de "Terre sainte" n’avait pour elle aucune signification. La communauté juive argentine était importante, c’était même la troisième au monde après celles des Etats-Unis et d’Union soviétique. Nous fréquentions moins la synagogue pour des raisons religieuses que parce que c’était un centre de la vie sociale juive, où l’on jouait, chantait, dansait. On ne ressentait pas d’antisémitisme. Mais je sais que, en 1943 ou 1944, l’organisateur d’un concert que donnait mon père dans le sud de l’Argentine lui avait demandé de faire le salut nazi avant la représentation. Le général Peron faisait, en fait, régner une atmosphère bien particulière. Il s’était fait payer pour laisser entrer en Argentine de nombreux criminels nazis : Bormann, Eichmann, Mengele. Puis il avait accepté l’argent de juifs fortunés pour accueillir des milliers de survivants de la Shoah. On racontait que, pour un bateau de 600 personnes, il fallait verser un demi-million de dollars !

Mon père, qui haïssait cet esprit de corruption, avait refusé qu’on me décerne une bourse Eva Peron. Et puis, comme mes dons de musicien se précisaient, mes parents ont pensé qu’il était important que je puisse grandir et m’épanouir dans un pays dont j’appartiendrais très naturellement à la majorité plutôt qu’à une minorité, quelque part dans la diaspora. Décision fut donc prise : en 1952, la famille Barenboim émigrait en Israël.

Quel optimisme alors, dans ce pays ! C’était l’époque du mot d’ordre "Transformons le désert en jardin". Et il n’y avait pas de pays plus social et plus idéaliste. Tout paraissait possible. Tout était en progrès. J’avais tout juste 10 ans et ne parlais qu’espagnol, mais je me suis tout de suite adapté. Et si j’y ai passé relativement peu de temps - j’ai très vite voyagé pour mes études et des concerts -, j’ai immédiatement embrassé l’idéal, l’énergie, l’enthousiasme de ce pays. La minorité persécutée pendant des siècles s’y transformait en une majorité ardente ; une nation dans laquelle il y avait non seulement des avocats, des médecins, des banquiers ou des artistes, ces fameux métiers "libres" de la diaspora, mais aussi des agriculteurs, des policiers, voire des prostituées. Je ne voulais plus rien avoir à faire avec l’Argentine. Toute mon âme était dans le présent et l’avenir d’Israël.

En 1966, j’ai rencontré à Londres la violoncelliste Jacqueline du Pré. Nous sommes tout de suite tombés amoureux et avons décidé de nous marier. De son propre chef, elle a décidé de se convertir, sans doute en pensant aux enfants que nous pourrions avoir. Et c’est ensemble, alors que la guerre semblait inévitable et que les tanks étaient en chemin, que nous avons pris, le 31 mai 1967, l’un des derniers vols de passagers pour Israël, afin d’y donner des concerts. La musique était notre arme.

Jusque-là, je n’avais guère rencontré de Palestiniens et ne m’étais pas préoccupé de leur sort. On nous les décrivait comme ignorants, voleurs, dénués de culture. On affirmait qu’ils étaient tous partis, en 1948, parce qu’ils n’acceptaient pas l’Etat hébreu. La vérité, c’est que dans le meilleur des cas on les avait encouragés à partir et dans le pire on les avait jetés dehors ! En 1970, après le fameux Septembre noir qui vit le massacre de milliers de Palestiniens par les troupes du roi Hussein de Jordanie, Golda Meir, le premier ministre israélien, s’est exclamée : "Qu’est-ce qu’on a à nous parler des Palestiniens ? C’est nous le peuple palestinien !" Ce fut pour moi un choc et un éveil. Notre attitude m’est apparue soudain moralement inacceptable, et j’ai commencé à m’intéresser à ceux qui, contrairement à l’opinion commune en cours, avaient déjà peuplé notre sol avant que nous nous y installions. Il n’était que temps, j’avais 27 ans !

Tout a changé, de toute façon, après la guerre des six jours. Israël s’est résolument tourné vers les Etats-Unis. Les traditionalistes ont dit : "Pas question d’abandonner les nouveaux territoires : ils ne sont pas occupés, ils sont libérés." Les religieux ont renchéri : "Ils ne sont pas uniquement libérés, ce sont des territoires "bibliques" libérés." Adieu, le socialisme.

Au lieu de se comporter en conquérant responsable du sort des conquis, comme l’aurait voulu la règle, Israël a agi envers les Palestiniens avec le plus grand mépris. Où sont les écoles, les hôpitaux, les conservatoires qu’il aurait dû avoir à coeur de construire sur la rive ouest du Jourdain ? Pourquoi la survivance de ces camps de réfugiés misérables, quand il aurait été si facile pour l’armée de les remplacer par des logements décents ?

Tout serait alors différent ! Réalise-t-on que 85 % des Palestiniens vivant dans les territoires ont moins de 33 ans et n’ont pas connu une autre vie ? On sait que la haine se transmet de génération en génération. On a manqué non seulement d’humanité, mais aussi de vision. Où est-il passé, le mythe de l’intelligence juive ? Comment ne pas comprendre que notre obstination à ne pas reconnaître l’histoire met en danger l’existence même d’Israël ?

La violence n’a fait que succéder à la violence, la guerre aux attentats terroristes. Cela a longtemps fait la une des journaux. Aujourd’hui, c’est en pages intérieures, "notre" conflit étant désormais englobé dans une crise plus mondiale. Mais le drame demeure. Chaque nuit, les Israéliens rêvent qu’à leur réveil les Palestiniens auront disparu, et les Palestiniens rêvent qu’au petit matin les Israéliens seront repartis.

Je fais, moi, un autre rêve. D’abord qu’on reconnaisse qu’il n’y a pas de solution militaire pour résoudre le conflit. Annapolis est une caricature, et chaque triomphe militaire israélien n’a fait qu’affaiblir politiquement Israël. Ensuite, qu’on revienne sereinement à la source du problème, qui est la conviction, partagée par deux peuples, d’avoir le droit de vivre sur le même territoire. C’est là-dessus qu’il faut se concentrer.


Il faut avoir le courage d’affronter le passé. Les Palestiniens ont besoin que les Israéliens reconnaissent que la terre qu’ils ont investie et dont ils ont voulu faire leur propriété exclusive après la tragédie de la Shoah - avec l’assentiment du monde occidental rongé de culpabilité - était déjà peuplée. Les Israéliens ont besoin que les Palestiniens acceptent la légitimité de l’Etat d’Israël. Les Palestiniens ont besoin de justice, les Israéliens de sécurité. Toute violence est contre-productive. Les destins de nos deux peuples sont inextricablement liés.

Je rêve que nos deux populations reprennent ensuite le dialogue. Je rêve qu’elles aient envie de construire collectivement l’avenir. Et je rêve que deux Etats indépendants et interdépendants se développent côte à côte en partageant une vie économique, scientifique... et culturelle. Y a-t-il meilleur endroit qu’un orchestre pour expérimenter la notion d’interdépendance ?

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Message par Fée Violine Dim 10 Aoû 2008 - 20:53

Joss : il y a déjà à peu près le même sujet dans la rubrique "musique", ce serait bien de les fusionner.
Tu as une certaine tendance à oublier l'existence de "la harpe de David"... No
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Message par Joss Dim 10 Aoû 2008 - 21:13

Fée Violine a écrit:Joss : il y a déjà à peu près le même sujet dans la rubrique "musique", ce serait bien de les fusionner.
Tu as une certaine tendance à oublier l'existence de "la harpe de David"... No

Oui mais là, c'est la démarche politique d'un artiste......
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Message par Fée Violine Lun 11 Aoû 2008 - 8:52

dans l'autre fil, c'était aussi exactement le même sujet : la démarche politique de Daniel Barenboim...
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Message par Joss Lun 11 Aoû 2008 - 11:17

Fée Violine a écrit:dans l'autre fil, c'était aussi exactement le même sujet : la démarche politique de Daniel Barenboim...

J'ai fusionné les deux dans ce fil-ci Wink Vérifie.....
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Message par Fée Violine Mar 19 Aoû 2008 - 21:09

ah oui, mais ça fait un sujet de moins dans la rubrique artistique, qui n'est déjà pas trop fournie... Alors que dans "sujets divers" il y a de tout, et c'est pas évident de s'y retrouver. J'aime bien classer les choses !
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