Accepter d'être aimé.

Ce n'est pas facile d'accepter d'être aimé...


ça....
et d'être aimé comme on est.... non parfait...

Etre aimé de Dieu avec tout ce que l'on est... de beau, de laid, de trouble.
Etre aimé des autres, nos frères que l'on aide, l'on blesse, que l'on déçoit...
Etre aimé de soi-même.... s'aimer... alors quo'n sait si bien ce qu'il y a en nous...


"Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi ?"

Une hymne que j'aime beaucoup...

lucie a écrit:Ce n'est pas facile d'accepter d'être aimé...


ça....
et d'être aimé comme on est.... non parfait...

Etre aimé de Dieu avec tout ce que l'on est... de beau, de laid, de trouble.
Etre aimé des autres, nos frères que l'on aide, l'on blesse, que l'on déçoit...
Etre aimé de soi-même.... s'aimer... alors quo'n sait si bien ce qu'il y a en nous...


"Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi ?"

Une hymne que j'aime beaucoup...

Ah ! que c'est bien vrai tout ça !

'Tu aimeras ton prochain comme toi-même'.

Voilà un verset qui chamboule !

Seul Dieu peut nous aimer dans les laideurs, en vue de nos splendeurs à venir.


Un autre verset d'un psaume qui chamboule !

'Regarde, Seigneur, cet être admirable que je suis !'

Voilà tout le travail de Dieu en soi,

Afin que cet être admirable soit et moi et mon prochain.

'Regarde, Seigneur, cet être admirable que je suis !'

Je ne peux pas m'empêcher de rire quand je dis ce verset !


"Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi ?"

Une hymne que j'aime beaucoup...

Moi aussi...


Bien sûr, puisque Dieu nous aime, nous n'avons pas à nous montrer plus difficiles que Lui ! C'est probablement une question d'orgueil... Cet orgueil qui nous survit d'1/4 d'heure (dixit Ste Bernadette).

C'est drôle, je ne me soucie plus d'être aimée par les hommes. De même, je n'ai plus d'états d'âme quant à mes faiblesses. Je m'en remets complètement à Dieu : il me connait, il m'a créé, il connait mes défaut et mes faiblesses. Je suis loin d'être parfaite. Peut-être que quelqu'un à ma place aurait mieux fait mais j'ai le sentiment d'avoir été au bout de mes capacités.

Donc, je ne me soucie pas. Je regarde droit devant et je fonce.....vers Dieu.

Joss a écrit:C'est drôle, je ne me soucie plus d'être aimée par les hommes. De même, je n'ai plus d'états d'âme quant à mes faiblesses. Je m'en remets complètement à Dieu : il me connait, il m'a créé, il connait mes défaut et mes faiblesses. Je suis loin d'être parfaite. Peut-être que quelqu'un à ma place aurait mieux fait mais j'ai le sentiment d'avoir été au bout de mes capacités.

Donc, je ne me soucie pas. Je regarde droit devant et je fonce.....vers Dieu.

Ce souci d'être plus aimée par les hommes, est logique.
C'est la logique de l'Invisible nous faisant aimer le visible : c'est-à-dire notre prochain.
Et ne plus se soucier des faiblesses qui demeureront, est aussi une logique.
C'est la logique d'une conversion réussie !

Car en fait, la conversion, soi-même, on ne la touche pas !
Se sont les frères qui nous disent un jour : 'Tu as changé'.

Je perçois les choses comme toi.

'Regarde, Seigneur, cet être admirable que je suis !'

Je ne peux pas m'empêcher de rire quand je dis ce verset !


l'être admirable que je suis...
en effet risible...

ou... compréhensible seulement en acceptant cet amour incompréhensible qui met Dieu à nos pieds pour les laver...
qui met Dieu à nos pieds d'où comme Pierre, nous voudrions le chasser...
mais si nous ne le laissons pas faire, quelle part avons-nous avec lui ?

si nous n'admettons pas que nous sommes admirable (une autre traduction dit étonnant), comment admettre qu'Il nous aime ?

mais... Je questionne... Je me questionne, et je contemple le Christ pour tenter de comprendre... un peu...

lucie a écrit:'Regarde, Seigneur, cet être admirable que je suis !'

Je ne peux pas m'empêcher de rire quand je dis ce verset !


l'être admirable que je suis...
en effet risible...

ou... compréhensible seulement en acceptant cet amour incompréhensible qui met Dieu à nos pieds pour les laver...
qui met Dieu à nos pieds d'où comme Pierre, nous voudrions le chasser...
mais si nous ne le laissons pas faire, quelle part avons-nous avec lui ?

si nous n'admettons pas que nous sommes admirable (une autre traduction dit étonnant), comment admettre qu'Il nous aime ?

mais... Je questionne... Je me questionne, et je contemple le Christ pour tenter de comprendre... un peu...

Oui, c'est preuve de l'amour de Dieu pour nous.
Il installe en nous, cette partie admirable, étonnante.

lucie a écrit:'Regarde, Seigneur, cet être admirable que je suis !'

Je ne peux pas m'empêcher de rire quand je dis ce verset !

Moi, ça ne me fait pas rire mais j'ai l'impression de ne pas être concernée.....j'admets que ce soit possible mais je ne le sais pas.....ou du moins, même si cela m'a été révélé dans le passé, ça me semble aujourd'hui si lointain que cela me semble enfoui, caché, et que cela me sera pleinement révélé au ciel

Joss a écrit:

lucie a écrit:'Regarde, Seigneur, cet être admirable que je suis !'

Je ne peux pas m'empêcher de rire quand je dis ce verset !

Moi, ça ne me fait pas rire mais j'ai l'impression de ne pas être concernée.....j'admets que ce soit possible mais je ne le sais pas.....ou du moins, même si cela m'a été révélé dans le passé, ça me semble aujourd'hui si lointain que cela me semble enfoui, caché, et que cela me sera pleinement révélé au ciel

Quand j'ai lu cette phrase je me suis dit que ce rire exprimait l'étonnement, la surprise, du genre : 'comment, Seigneur, moi, un être admirable ?'

Je me souviens de ma réaction quand j'ai lu ce verset :
'il m'a sciée', j'étais saisie.

oui, etonnement... du genre :

"ben David, oui, sans doute... mais moi... admirable... risible".

Moi, j'ai commencé par ne pas le dire, ou du moins, juste de parole, en refusant qu'il puisse m'habiter.

et puis... il a fallu du temps pour que j'en comprenne un epu le sens... mais j'avoue que... c'est toujorus un peu une violence que je me fais...

lucie a écrit:oui, etonnement... du genre :

"ben David, oui, sans doute... mais moi... admirable... risible".

Moi, j'ai commencé par ne pas le dire, ou du moins, juste de parole, en refusant qu'il puisse m'habiter.

et puis... il a fallu du temps pour que j'en comprenne un epu le sens... mais j'avoue que... c'est toujorus un peu une violence que je me fais...

Ben oui, ma belle ! Mais ce rire n'est-il pas provoqué par l'Esprit saint ?

ps. Ta phrase sur les paraboles hors contexte, elle, m'a vraiment fait tilt ! Merci. C'st dans le fil 'l'expression de la révélation'.

C'est justement le psaume de ce jour :

"Je reconnais devant toi le prodige,
l'être étonnant que je suis"
(aelf)

Joss, c'est bien ça qui me fait rire, ou plutôt sourire, ce sentiment de ne pas être concernée. C'est trop !

j'y pensais cette nuit...

Je reconnais "devant toi".
il n'est pas question de se glorifier d'être un être étonnant... juste d'accepter dasn le coeur à coeur avec le Seigneur que tel est le cas... puisqu'il nous aime.

Cécile a écrit:C'est justement le psaume de ce jour :

"Je reconnais devant toi le prodige,
l'être étonnant que je suis"
(aelf)

Joss, c'est bien ça qui me fait rire, ou plutôt sourire, ce sentiment de ne pas être concernée. C'est trop !

Génial

Cécile a écrit:
Joss, c'est bien ça qui me fait rire, ou plutôt sourire, ce sentiment de ne pas être concernée. C'est trop !

Bon bah, je ne dois pas avoir beaucoup d'humour ......à moins que je ne sois pas "saisie" par l'esprit-saint :idea:

Joss a écrit:

Cécile a écrit:
Joss, c'est bien ça qui me fait rire, ou plutôt sourire, ce sentiment de ne pas être concernée. C'est trop !

Bon bah, je ne dois pas avoir beaucoup d'humour ......à moins que je ne sois pas "saisie" par l'esprit-saint :idea:

Je ne crois pas que ce soit une question d'humour, mais je ne me trouve ni prodigieuse, ni étonnante...

D'un autre côté, on ne peut pas dire à Dieu qu'Il nous a "loupés" !
Rien, dans sa création, ne l'est...