les femmes et l'Eglise

La profession, en ce qu'elle a d'essentiel comme consécration radicale et solennelle faite à Dieu, peut être rapprochée du don de soi. Profession religieuse et don de soi comportent la même désappropriation complète de soi et la remise absolue entre les mains de Dieu de tout ce que l'on est et de tout ce que l'on a, pour le présent et pour l'avenir. La profession vaut surtout par la plénitude du don de soi qui l'anime. Toutefois, à ce don de soi plénier, elle ajoute ce caractère de solennité qui fait de la profession un acte extérieur inspiré par la vertu de religion et qui place le religieux dans un ordre à part dans l'Église. Par contre, le don de soi indépendant des formes extérieures, n'orientant spécialement vers aucune mais s''adaptant à toutes, inspiré uniquement par la charité, souple et fervent, large et simple, conduit chaque âme à la réalisation parfaite de sa vocation particulière et la livre à la plénitude de sa grâce.

Fée Violine a écrit:Moi j'ai deux fils, je ne les materne pas, car ils sont adultes. Un fils n'est pas forcément un enfant !

Fée Violine a écrit:Un prêtre est adulte, et un adulte peut avoir une mère. Autrement dit, une paroissienne peut se rendre utile à son curé.

Fée Violine a écrit:Oui, justement!
C'est toi qui as parlé de materner.

Fée Violine a écrit:Mais non, pas du tout ! Tu dis ça parce que pour toi, les deux sont équivalents, mais j'essayais de dire que ce n'est pas le cas pour tout le monde.

Marc a écrit:Et moi un monsieur Mais Joss tu connais Michel et Michel tu connais Joss du RSCF (RIP)

MJN (mic a écrit:Si Joss se veut troub-lionne, alors je veux un match entre troublions.
Dresseur-de-lionnes

Moi pas reconnaître Joss. Elle peut pas se découvrir un peu ? Car difficile de voir plus clair tout seul vu que c'est impossible d'empêcher ma femme de m'apporter du whisky sans arrêt sur mon bureau.