LA VIE ET LA MORT AUX ORDURES «Super Trash» film coup de poi
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LA VIE ET LA MORT AUX ORDURES «Super Trash» film coup de poi
Extrait n°1 : Sous les déchets… des cercueils !
Le réalisateur Martin Esposito nous livre, en exclusivité, un premier extrait de son film « Super Trash », récit de 14 mois passés dans une décharge du Sud-Est de la France. Dans ce lieu géré par une filiale locale de Véolia, sa caméra a « débusqué »… des cercueils ! Il nous raconte…
« J’ai eu la possibilité de filmer deux fois des cercueils durant les 18 mois de tournage. J’en entendais parler depuis mon arrivée, mais la décharge était si grande que je les ratais à chaque fois. Pourtant un des travailleurs me disait qu’il y avait des arrivages quotidiens de cercueils sur le site.
La première fois que je les ai vus, c’était surtout des empilements de planches pourries, mélangés à des cheveux, des vêtements et des os éclatés. Un jour, un camion pousseur arrive et là, au milieu des planches, je découvre ce cercueil d’enfant, avec dedans une grande quantité de chaux. Il y avait une sorte de poussière qui sortait de ce cercueil. J’essayais à tout prix de ne pas trop m’approcher pour éviter de respirer cette poussière. De ce que je sais, c’était des cercueils en fin de concession, qui devait dater d’une soixantaine ou une centaine d’années.
Parmi les travailleurs il y en avait qui était choqué de ce spectacle. Je me souviens de l’un d’entre eux, qui était musulman et qui s’empressait de recouvrir les cercueils car pour lui c’était très malsain, presqu’un sacrilège. Et puis ça les ramenait à leur condition de travail, sur les risques que l’on prend quand on est sur une décharge. Il y a beaucoup d’accidents mortels.
Pour moi cette décharge, c’est une sorte de site archéologique du présent. Si ça se trouve dans cent ans, il y aura des chercheurs qui retrouveront les restes de ces cercueils au milieu de la décharge et qui se diront que c’était une forme de coutume de notre époque de les balancer au milieu des ordures.
C’est étrange, mais la capture de ce moment est arrivée à la fin du tournage, comme si mon parcours initiatique s’achever et qu’avant de partir il fallait boucler la boucle. Cette décharge c’était le symbole de la fin de tout. Il y avait les moquettes du festival de cannes, les prospectus, les décors et à au milieu de tout ça… des cercueils. »
Le réalisateur Martin Esposito nous livre, en exclusivité, un premier extrait de son film « Super Trash », récit de 14 mois passés dans une décharge du Sud-Est de la France. Dans ce lieu géré par une filiale locale de Véolia, sa caméra a « débusqué »… des cercueils ! Il nous raconte…
« J’ai eu la possibilité de filmer deux fois des cercueils durant les 18 mois de tournage. J’en entendais parler depuis mon arrivée, mais la décharge était si grande que je les ratais à chaque fois. Pourtant un des travailleurs me disait qu’il y avait des arrivages quotidiens de cercueils sur le site.
La première fois que je les ai vus, c’était surtout des empilements de planches pourries, mélangés à des cheveux, des vêtements et des os éclatés. Un jour, un camion pousseur arrive et là, au milieu des planches, je découvre ce cercueil d’enfant, avec dedans une grande quantité de chaux. Il y avait une sorte de poussière qui sortait de ce cercueil. J’essayais à tout prix de ne pas trop m’approcher pour éviter de respirer cette poussière. De ce que je sais, c’était des cercueils en fin de concession, qui devait dater d’une soixantaine ou une centaine d’années.
Parmi les travailleurs il y en avait qui était choqué de ce spectacle. Je me souviens de l’un d’entre eux, qui était musulman et qui s’empressait de recouvrir les cercueils car pour lui c’était très malsain, presqu’un sacrilège. Et puis ça les ramenait à leur condition de travail, sur les risques que l’on prend quand on est sur une décharge. Il y a beaucoup d’accidents mortels.
Pour moi cette décharge, c’est une sorte de site archéologique du présent. Si ça se trouve dans cent ans, il y aura des chercheurs qui retrouveront les restes de ces cercueils au milieu de la décharge et qui se diront que c’était une forme de coutume de notre époque de les balancer au milieu des ordures.
C’est étrange, mais la capture de ce moment est arrivée à la fin du tournage, comme si mon parcours initiatique s’achever et qu’avant de partir il fallait boucler la boucle. Cette décharge c’était le symbole de la fin de tout. Il y avait les moquettes du festival de cannes, les prospectus, les décors et à au milieu de tout ça… des cercueils. »
Re: LA VIE ET LA MORT AUX ORDURES «Super Trash» film coup de poi
Non mais, c'est du grand n'importe quoi !!! Dans quel monde vit-on !!!
Et quand bien même en fin de concession, est-ce une raison pour jeter aux ordures des cercueils ??? D'ailleurs, qui jette ces cercueils et qui donne de telles autorisations ?
Ces gens là n'ont vraiment aucune conscience ni aucun scrupule.
Seraient-ils heureux ces gens là de savoir que peut-être ce seront eux qui se retrouveront dans les tas d'ordures après leur mort ?
Mon Dieu ! Je suis écoeurée !
Et quand bien même en fin de concession, est-ce une raison pour jeter aux ordures des cercueils ??? D'ailleurs, qui jette ces cercueils et qui donne de telles autorisations ?
Ces gens là n'ont vraiment aucune conscience ni aucun scrupule.
Seraient-ils heureux ces gens là de savoir que peut-être ce seront eux qui se retrouveront dans les tas d'ordures après leur mort ?
Mon Dieu ! Je suis écoeurée !
Lisaya- Passant
- Nombre de messages : 31
Age : 56
Date d'inscription : 16/10/2012
Re: LA VIE ET LA MORT AUX ORDURES «Super Trash» film coup de poi
Les animaux plus humains que les humains qui jettent leurs anciens dans les décharges publiques comme ici :
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