alice au pays des merveilles

en regardant hiier soir sur Canal plus le fim: alice au pays des merveilles, j 'ai ete d'abord séduite par les effets speciaux, chat tournant, reine rouge mechante et cruelle, j ai ete interpelle par la chenille, qui dit adieu, je vais me tranformer. En effet, de chenille elle devient papillon. je tiens a dire que le scenario est tres bien monte, les scenes tres bien filmees, et les effets speciaux assez bien fait. A part , la chenille qui dis je m en vais , je vais renaitre a la vie, puisqu'elle se transforme en papaillon, je n ai trouve dans ce film, aucune presence de Dieu ous me direz, ce film n est pas fait pour parler de Dieu. Je suis cetaine que ce film nous entraine dans un autre monde ou tout est merveilleux, les couleurs, les personnages fantastiques, je parlerais plutot du new age.Je pense que ce film avec les qualites qu'il a, deconnecte completement nos enfants et nos adlescents qui trouvent dans ces images une sorte de therapie ou n a pas sa place, mais ou toutesles creatures semblent sortir d'un livre d'épouvante. Es ce la la séduction d u prince de ce monde , qui nous séduit?V oila, ce que j'ai ressenti en visionnant ce film, peut on parler de Dieu a des enfants qui ont vu ce film ?mireille coeur d'aritchaud

Je n'ai pas vu ce film, mais je te trouve sévère, Mireille!
C'est juste une oeuvre de fantaisie, pour faire rêver les enfants, non?
La chenille qui devient papillon, ce n'est pas new age, c'est juste la nature!

Bonjour Mireille, bien que cela ne semble pas être évident au premier abord, le prince de ce monde ce n'est plus Satan mais Jésus. Certains protestants ne l'on pas admis mais pour les catholiques la chose est claire. Néanmoins cela ne va pas durer...

J'ai vu ce film et oui je pense qu'il est possible de se servir de ce film comme support pour parler de Dieu. C'est décidant que tuer la bête (me souviens plus de son nom) qu'Alice retrouve ce qu'elle fut lorsqu'elle était enfant. Et c'est justement au moment de la scène de la chenille qui fait son cocon que cela se passe. Tout comme la chenille, elle se prépare à devenir "une créature nouvelle" et c'est ce que nous pouvons constater lorsqu'elle revient dans la réalité. Elle est "transfigurée"

Marc a écrit:la chenille qui fait son cocon que cela se passe. Tout comme la chenille, elle se prépare à devenir "une créature nouvelle"

..... Image souvent reprise par SAINTE THERESE D'AVILA

cher marc j ai lu avec beaucoup d'interet votre reflexion sur le film alice au pays des merveilles. Ce film, me fait penser aux poupees dont je ne nommerai pas le nom, sur leurs chevaux aux ailes transparentes. J ai constaste que dans ce film, il y a beaucoup de seduction, des personnages terrifiants, telle la reine rouge, ou une reine blanche, le bien, peut etre qui est representee complemtement évaporée . Je crois que le dansger de ces films, c'est de mettre nos enfants dans une spere ou tout est beau, facile, colorée, On ne parle d'aucun effot, la reine rouge, ne sait que dire : qu on leur coupe la tete : il y a de quoi faire des cauchemars. Je ne vois pas comment on peut parler de Jésus, sur un tel support. Jésus, n'est pas arrivé sur terre sous des champignons colorés, ou dans une trainee de fumme bleue, jesus est venue sur terre de facon bien reelle, et il s'est fait le plus petit possible. Il nous invite à lire les evangiles, et surtout le message de Jésus est un messagze plein d amour; Venez à moi, je porterai votre fardeau, ou bien : celui qui m aime qu'il prenne sa croix et me suive. Jésus, a dit des choses bien reelles, sans vouloir séduire ; jE N AI pâs vu dans ce film, un tant soit peu d'amour.c ertes, c'est un
bon divertissement, mais surtout ne rentrons pas dans cette sphére qui ne peut que nous détruire : séduction, BEAUTE IRREELLE? COPULEURS FLASY, personnages telles las crates, etc.... voila, en ayant le plaisir de vous lire mireille qui vous embrasse.

Lewis Carroll, l'auteur d'Alice, était pourtant pasteur! Mais pourquoi veux-tu utiliser cette histoire pour évangéliser les enfants? Ce n'est pas son but!

L'étrange vie de Lewis Carroll :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lewis_Carroll

C'était un prof de maths timide, qui se sentait mal à l'aise parmi les grandes personnes, et préférait la compagnie des petites filles.
Il a écrit beaucoup d'histoires farfelues, pleines de "nonsense".

Quant au bégaiement, il serait peut-être à l’origine des fameux « mots-valises » à double signification. La hâte à s’exprimer, combinée avec son défaut d’élocution, aurait amené l’enfant à fondre involontairement deux mots en un seul.

« Tout flivoreux vaguaient les borogoves,
Les verchons fourgus bourniflaient. »
De l’autre côté du miroir, Bredoulocheux, poème, traduction d’Henri Parisot.

L’explication en est fournie par L'Œuf Gros Coco (Humpty-Dumpty) dans De l'autre côté du miroir : « C’est comme une valise, voyez-vous bien : il y a trois significations contenues dans un seul mot… Flivoreux, cela signifie à la fois frivole et malheureux… Le verchon est une sorte de cochon vert ; mais en ce qui concerne fourgus, je n’ai pas d’absolue certitude. Je crois que c’est un condensé des trois participes : fourvoyés, égarés, perdus. »

"Alice" a été écrit en hommage à une petite fille de ce nom.

Alice est en porte à faux dans le pays des merveilles comme Charles Dodgson l’était dans la réalité. Elle fait tout à rebours ou à contretemps de ce qui est convenable sur un plan social. Elle est toujours trop grande ou trop petite et a conscience de son inadaptation. La reine blanche l’accuse carrément de vivre à l’envers et lui conseille d’apprendre à croire à l’impossible. Mais au contraire de Charles Dodgson qui subissait la réalité, Alice ose se rebeller contre celui de l’anormalité. Elle est hardie et sereine, la projection idéalisée de son auteur.

Beaucoup des animaux de l'histoire représentent des personnes réelles, ainsi :

- Dinah est le nom de la chatte d'Alice Liddell et de l'Alice de Carroll

- le Canard évoque un ami de l'auteur, le révérend Duckworth (duck signifie en anglais)

- le Dodo (ou le Dronte) évoque l'auteur lui-même (à cause de son bégaiement, quand il se présentait, il disait : "Do-Do-Dodgson")

- le Lori (petit perroquet malais) évoque Lorina Liddell, sœur d'Alice

- l'Aiglon évoque l'autre sœur, Edith

chere fee violine tout ce que vous dites est tres juste surtout vous apportez des affirmations en beton. Je vous serre amicalement la main mireille coeur d a rtichaud