HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
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HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
UN TRADER DE WALL STREET DEVENU MOINE : :
Passé des salles de marchés aux cités populaires, l'ex-trader millionnaire Henry Quinson, aujourd'hui moine et éducateur dans les quartiers pauvres du nord de Marseille (sud-est), vit sa reconversion comme une quête de sens, loin de la crise financière.
"Je me rends compte que j'ai vécu dans trois lieux qui font fantasmer les gens parce qu'on en parle beaucoup et que très peu de gens les connaissent: une salle de marché, un monastère et une cité HLM (logements populaires), ça donne une forme de continuité à mon itinéraire", dit-il.
Il y a près de vingt ans, à 28 ans, ce Franco-Américain abandonnait une augmentation de 30% et un confortable bonus offerts par la banque Indosuez où il travaillait pour se retirer dans un monastère.
Cette décision avait stupéfait ses proches et sa hiérarchie, persuadée qu'il partait à la concurrence pour une offre plus lucrative.
Mais le dieu-dollar ne séduisait plus ce jeune financier élevé à New York dans une famille pratiquante, qui décida, la "trouille au ventre", de rejoindre l'abbaye cistercienne de Tamié, dans les Alpes, pour se consacrer à la prière et à la fabrication de fromage.
C'est juste avant cette retraite de presque six ans qu'il eut une vision: "Je me suis vu à Marseille, où je n'étais jamais allé, où je ne connaissais personne, entouré d'enfants maghrébins à qui je faisais l'école".
Vision devenue réalité en 1996 avec son arrivée dans les quartiers Nord et la création de la fraternité religieuse St-Paul dans une cité dont 70% des habitants sont musulmans.
Avant cela, il s'est "débarrassé" de ses millions en les cédant à différentes associations et non à l'Eglise catholique. "C'est bien de faire des discours sur les pauvres, mais c'est encore mieux d'en faire partie", explique-t-il.
Dans l'appartement qu'il partage dans la cité avec l'un des quatre moines de sa fraternité, son quotidien mêle prières, cours d'anglais, soutien scolaire aux enfants, écoute, mission d'écrivain public et aide aux étudiants pour décrocher des bourses d'étude.
Ce moine moderne, maniant avec autant d'aisance l'humour que les références bibliques, estime que l'argent "perturbe la relation avec les personnes" et préfère "faire de l'éducatif".
"Si un jeune vient chez nous trois jours par semaine pendant dix ans, il va non seulement faire des progrès scolaires mais sa vision du monde va être transformée", juge-t-il.
Ce qui lui manque le plus de sa précédente vie, ce n'est ni l'argent, ni l'effervescence des marchés mais... les femmes: "peut être la plus grande souffrance", avoue-t-il.
Sur la crise financière, il reste philosophe. "Un gros rhume pour le marché", tranche-t-il, estimant qu'il "y a toujours eu des crises même si celle-ci est particulièrement grave".
"J'ai conseillé à tous ceux qui me le demandaient il y a un an de complètement sortir du marché d'actions, je ne sais pas s'ils m'ont écouté", sourit-il.
"Aujourd'hui mon salaire annuel de professeur à l'Education nationale correspond à une prime mensuelle de mon salaire de trader à l'époque", mais, poursuit-il, "j'ai infiniment plus de pouvoir en tant que professeur qu'en tant que trader", car "la vraie richesse, c'est l'éducation", "seule apte à changer le monde".
Passé des salles de marchés aux cités populaires, l'ex-trader millionnaire Henry Quinson, aujourd'hui moine et éducateur dans les quartiers pauvres du nord de Marseille (sud-est), vit sa reconversion comme une quête de sens, loin de la crise financière.
"Je me rends compte que j'ai vécu dans trois lieux qui font fantasmer les gens parce qu'on en parle beaucoup et que très peu de gens les connaissent: une salle de marché, un monastère et une cité HLM (logements populaires), ça donne une forme de continuité à mon itinéraire", dit-il.
Il y a près de vingt ans, à 28 ans, ce Franco-Américain abandonnait une augmentation de 30% et un confortable bonus offerts par la banque Indosuez où il travaillait pour se retirer dans un monastère.
Cette décision avait stupéfait ses proches et sa hiérarchie, persuadée qu'il partait à la concurrence pour une offre plus lucrative.
Mais le dieu-dollar ne séduisait plus ce jeune financier élevé à New York dans une famille pratiquante, qui décida, la "trouille au ventre", de rejoindre l'abbaye cistercienne de Tamié, dans les Alpes, pour se consacrer à la prière et à la fabrication de fromage.
C'est juste avant cette retraite de presque six ans qu'il eut une vision: "Je me suis vu à Marseille, où je n'étais jamais allé, où je ne connaissais personne, entouré d'enfants maghrébins à qui je faisais l'école".
Vision devenue réalité en 1996 avec son arrivée dans les quartiers Nord et la création de la fraternité religieuse St-Paul dans une cité dont 70% des habitants sont musulmans.
Avant cela, il s'est "débarrassé" de ses millions en les cédant à différentes associations et non à l'Eglise catholique. "C'est bien de faire des discours sur les pauvres, mais c'est encore mieux d'en faire partie", explique-t-il.
Dans l'appartement qu'il partage dans la cité avec l'un des quatre moines de sa fraternité, son quotidien mêle prières, cours d'anglais, soutien scolaire aux enfants, écoute, mission d'écrivain public et aide aux étudiants pour décrocher des bourses d'étude.
Ce moine moderne, maniant avec autant d'aisance l'humour que les références bibliques, estime que l'argent "perturbe la relation avec les personnes" et préfère "faire de l'éducatif".
"Si un jeune vient chez nous trois jours par semaine pendant dix ans, il va non seulement faire des progrès scolaires mais sa vision du monde va être transformée", juge-t-il.
Ce qui lui manque le plus de sa précédente vie, ce n'est ni l'argent, ni l'effervescence des marchés mais... les femmes: "peut être la plus grande souffrance", avoue-t-il.
Sur la crise financière, il reste philosophe. "Un gros rhume pour le marché", tranche-t-il, estimant qu'il "y a toujours eu des crises même si celle-ci est particulièrement grave".
"J'ai conseillé à tous ceux qui me le demandaient il y a un an de complètement sortir du marché d'actions, je ne sais pas s'ils m'ont écouté", sourit-il.
"Aujourd'hui mon salaire annuel de professeur à l'Education nationale correspond à une prime mensuelle de mon salaire de trader à l'époque", mais, poursuit-il, "j'ai infiniment plus de pouvoir en tant que professeur qu'en tant que trader", car "la vraie richesse, c'est l'éducation", "seule apte à changer le monde".
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
"Ce qui lui manque le plus de sa précédente vie, ce n'est ni l'argent, ni l'effervescence des marchés mais... les femmes: "peut être la plus grande souffrance", avoue-t-il."
........fallait y penser avant........je ne serai pas moine ou alors .......les monastères doivent changer......
euhhhh, pardon, je vais me cacher
........fallait y penser avant........je ne serai pas moine ou alors .......les monastères doivent changer......
euhhhh, pardon, je vais me cacher
Invité- Invité
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
Errance a écrit:"Ce qui lui manque le plus de sa précédente vie, ce n'est ni l'argent, ni l'effervescence des marchés mais... les femmes: "peut être la plus grande souffrance", avoue-t-il."
........fallait y penser avant........je ne serai pas moine ou alors .......les monastères doivent changer......
Imagine les monastères avec femmes et enfants ....... :lancepierre:
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
Errance a écrit:on peut rêver....... :22:
Tu ne trouves pas qu ça ferait un peu colonie de vacances ? :gnark: .....ou communauté baba-cool :gnark: .....adieu silence...... adieu prière :wench:
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
Je ne suis pas un spécialiste, j’ai souvenir, qu’il y a une vingtaine d’années à Avranches dans la Manche une communauté de religieuses, vivaient dans la même maison que trois ou quatre couples. J’ignore, si l’expérience a perduré; Mais l’histoire me plaît bien.
Invité- Invité
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
ça existe depuis longtemps, ce sont les communautés nouvelles des Béatitudes, du Pain de Vie et autres, et ça se passe en général très bien.
Que ce moine souffre de l'absence de femmes, ça prouve qu'il est humain. Il a fait un choix et il l'assume. On ne peut jamais avoir tout à la fois, dans la vie, il faut tout le temps choisir...
J'ai parlé de Henry Quinson dans une précédente "revue de presse" de Famille chrétienne où il était interviewé.
Que ce moine souffre de l'absence de femmes, ça prouve qu'il est humain. Il a fait un choix et il l'assume. On ne peut jamais avoir tout à la fois, dans la vie, il faut tout le temps choisir...
J'ai parlé de Henry Quinson dans une précédente "revue de presse" de Famille chrétienne où il était interviewé.
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
Fée Violine a écrit:
J'ai parlé de Henry Quinson dans une précédente "revue de presse" de Famille chrétienne où il était interviewé.
https://marthetmarie.1fr1.net/temoignages-divers-f6/dans-le-dernier-famille-chretienne-t935.htm
Re: HENRY QUINSON, MOINE DES CITES
Henry Quinson (qu'on voit décidément partout depuis qu'il a quitté le monde !) passe lundi prochain à la télé dans l'émission "Vie privée, vie publique", sur la 3 à 20h 35. le thème du jour est "La force de rebondir".
HENRY QUINSON MOINE DES CITES
L'argent n'a pas fait pas son bonheur... Pourtant, il était millionnaire. Mais finalement, il y a une vingtaine d'années, Henry Quinson, à l'époque âgé de 28 ans, a décidé de tout plaquer pour donner un sens à sa vie: il est devenu moine.
Aujourd'hui, il raconte à La Provence sa vie à Marseille. Henry Quinson s'occupe en effet des jeunes des quartiers nord de la cité phocéenne. Il se souvient que sa décision avait choqué sa famille et ses collègues, mais il n'avoue rien regretter, au contraire!
Son site web
De Wall Street aux Quartiers Nord de Marseille!
Insolite itinéraire, pour ce natif de Neuilly sur Seine, Français par sa mère et Américain par son père. Henry C. Quinson avait sa vie professionnelle toute tracée. Ancien de l’école Saint-Jean de Passy, diplômé en sciences économiques de l’Université Panthéon Sorbonne et de Sciences Politiques, il devient trader à la salle des marchés de la Banque Indosuez en 1985. Un parcours classique pour ce jeune homme de bonne famille qui a vécu à New York et Bruxelles.
« Dans les années 1980, les spécialistes des options de change étaient rares, les salaires mirobolants » se souvient-il. C’est l’époque où la Compagnie financière de Suez l’envoie à Wall Street.
Là-bas, le golden boy multi millionnaire est approché par la banque d’affaires américaine Merrill Lynch. Il refuse l’offre, quitte Wall Street et part embrasser une voie beaucoup plus inattendue. « A vingt ans, j’ai redécouvert la prière et la vie spirituelle, me posant la question d’une vocation monastique. Ce lundi matin du 16 octobre 1989, je n’ai pu résister à la force qui m’habitait ».
A l’ombre des hauts murs de clôture du monastère de Tamié (Savoie), une voix intérieure lui dicte de fonder une fraternité dans les quartiers Nord de Marseille! Pourquoi la cité phocéenne? Il n’en sait rien. Tout juste a-t-il été marqué par l’assassinat, en Algérie, des moines de Tibhirine. Et là, il fondé la Fraternité Saint Paul, une communauté de prière et de travail, qui se veut accueillante à tous.
Dans son HLM, peuplée de familles immigrées pauvres, majoritairement musulmanes, « je fais se rencontrer des riches et des pauvres, des chrétiens et des musulmans, des croyants et des incroyants ». Loin des poncifs du « choc des civilisations » et de la crise des banlieues.
Gilles Carvoyeur
CONTACTER HENRY QUINSON:
henry.quinson@orange.fr
Fraternité Saint Paul | MARSEILLE
Henry Quinsona abandonné la finance pour créer une fraternité religieuse dans un HLM de Marseille
C'était à bord d'un avion, la business classentre Stockholm et Londres. "Une coupe de champagne dans une main et un livre de psaumes dans l'autre". Henry Quinson, Lyonnais par sa mère et Américain par son banquier de père, s'apprêtait à laisser derrière lui une prometteuse carrière de golden boyà Wall Street pour embrasser l'existence spartiate d'un moine trappiste.
Comment faire comprendre à vos collègues traders d'Indosuez, au patron de Merrill Lynch qui a pour vous les yeux de Chimène, aux amis que votre voeu de célibat sidère, que vous devez, millionnaire de 28 ans, partir "honorer la dimension spirituelle"de votre vie, que la dédier à la prière dans une abbaye savoyarde est devenu une évidence? "Ma mère ne voyait pas pourquoi j'avais fait toutes ces années d'étude pour finir par fabriquer des fromages", sourit cet homme de 47 ans aux allures d'éternel gamin, qui se garderait bien, pour autant, de "mépriser le monde matériel".
La monnaie"reste une invention géniale, assure-t-il. Ce sont les excès de pouvoir, le niveau de revenus d'un p.-d.g de Lehman Brothers, ou les agissements d'un Jérôme Kerviel, qui sont choquants. Mais ce n'est pas à moi de séparer le bon grain de l'ivraie", ajoute-t-il, malicieux. Après cinq ans de prière à l'abbaye de Tamié, c'est dans la cité phocéenne que l'ancien trader a tracé son petit chemin. "Quand j'ai quitté Wall Street, je me suis vu enseigner aux enfants maghrébins de Marseille. Une ville que je ne connaissais pas et dont je ne savais même pas écrire le nom!"
La vie d'Henry Quinson est pleine de virages à 180º, de mystères qu'il ne s'explique pas tout à fait. Peu importe. Il y a aussi les évidences: comme la nécessité, pour l'Église catholique, de retrouver une place "auprès des plus modestes", tout en bas d'une échelle sociale aux barreaux déglingués. Dans les quartiers Nord, à la cité Saint-Paul, musulmane à plus de 70%, Henry Quinson a créé voilà 12 ans sa petite fraternité religieuse: quatre moines se partagent ici un appartement HLM où "la porte est ouverte à tous chaque après-midi".
À la cité, ils sont des locataires comme les autres, que l'on appelle par leurs prénoms. "Nous ne sommes pas là pour vendre notre soupe religieuse, faire du chiffre d'affaires de convertis, mais juste par l'amour de nos voisins", explique Henry, prof à mi-temps au lycée Lacordaire. Au premier étage du bâtiment B1, on vient pour de l'aide aux devoirs, un coup de main administratif, un conseil, un gâteau ou un deuil à partager. Contre les réflexes communautaristes, ce moine installé au creux de la vie et du monde n'avance pas de grand discours: juste une parole d'amour. "C'est bien de dire Aimez-vous les uns les autres, mais c'est encore mieux de le vivre, non?"
Par Delphine Tanguy
Moine des Cités
Je vous parle aujourd'hui d'un personnage que les médias recherchent, tant son existence était ignorée de tous, et que la crise financière a fait paraître au grand jour. Je veux parler d' Henry Quinson.
Il a été très apprécié dans son métier de trader à Wall Street et en a été très bien rémunéré durant les premières années de sa vie professionnelle. Il en a pesé ensuite toute la vanité et le non-sens. Il s'est donc converti pour se consacrer à Dieu et aux habitants cosmopolites des cités miséreuses de Marseille. Comme il voulait être à Dieu seul et vivre de psaumes et de silence, il est entré chez les moines cisterciens de l'Abbaye de Tamié, en Savoie. D'approfondissement en approfondissement, comme il le dit lui-même : de "métamorphose du dedans" en "métamorphose du dehors", il a avec le temps et les rencontres trouvé sa voie comme moine en cité HLM. Avec un emploi à mi-temps, sa nouvelle vie est partagée entre l'écoute, la rencontre, la prière et la lecture. Henry Quinson décrit cet itinéraire peu banal dans son livre "Moine des cités" : sa vie de New York, Londres et Paris aux quartiers nord de Marseille, Éditions Nouvelle Cité, 210 pages et au prix de 22 euros.
Ce livre passionnant est rempli d'amour. Il permet de voir à travers ces rencontres une Eglise d'aujourd'hui proche des hommes de milieux divers, une Eglise après concile en dialogue avec les Musulmans et tous les hommes de bonne volonté. Car, en fin de compte, il crée un nouveau lieu d'Eglise en lien avec son évêque, sa paroisse et ses amis moines, une nouvelle communauté dans un appartement HLM ouvert à tous, . Il s'y vit toutes sortes de choses : entraides diverses, soutien scolaire, fêtes partagées, jeux… toutes les facettes d'un amour fraternel sans frontières et au cœur de l'actualité.
A lire!!!
paul mandonnaud de LIMOGES
Il a été très apprécié dans son métier de trader à Wall Street et en a été très bien rémunéré durant les premières années de sa vie professionnelle. Il en a pesé ensuite toute la vanité et le non-sens. Il s'est donc converti pour se consacrer à Dieu et aux habitants cosmopolites des cités miséreuses de Marseille. Comme il voulait être à Dieu seul et vivre de psaumes et de silence, il est entré chez les moines cisterciens de l'Abbaye de Tamié, en Savoie. D'approfondissement en approfondissement, comme il le dit lui-même : de "métamorphose du dedans" en "métamorphose du dehors", il a avec le temps et les rencontres trouvé sa voie comme moine en cité HLM. Avec un emploi à mi-temps, sa nouvelle vie est partagée entre l'écoute, la rencontre, la prière et la lecture. Henry Quinson décrit cet itinéraire peu banal dans son livre "Moine des cités" : sa vie de New York, Londres et Paris aux quartiers nord de Marseille, Éditions Nouvelle Cité, 210 pages et au prix de 22 euros.
Ce livre passionnant est rempli d'amour. Il permet de voir à travers ces rencontres une Eglise d'aujourd'hui proche des hommes de milieux divers, une Eglise après concile en dialogue avec les Musulmans et tous les hommes de bonne volonté. Car, en fin de compte, il crée un nouveau lieu d'Eglise en lien avec son évêque, sa paroisse et ses amis moines, une nouvelle communauté dans un appartement HLM ouvert à tous, . Il s'y vit toutes sortes de choses : entraides diverses, soutien scolaire, fêtes partagées, jeux… toutes les facettes d'un amour fraternel sans frontières et au cœur de l'actualité.
A lire!!!
paul mandonnaud de LIMOGES
Henry C. Quinson
le 27 février 2011, à l'émission Tout le monde en parle, à la télévision de Radio-Canada, Henry C. Quinson a nié vivre avec une femme. Il a bien une amie qui a trois enfants, une amie, pas une "copine". Il a dit profiter de sa présence pour dire que cette supposée union était une fausseté.
Albert- Invité
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