Démolir des églises ?
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Joss
Cécile
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Démolir des églises ?
Enquête
Peut-on démolir des églises ?
LE MONDE | 12.09.07 | 14h25 • Mis à jour le 12.09.07 | 14h25
l n'est pas certain que les travaux débutent avant les élections municipales de mars 2008, mais le maire de Valanjou (Maine-et-Loire) est déterminé : la flèche et la chambre des cloches de l'église Saint-Martin-de-Joué seront détruites. Par seize voix contre une, le conseil municipal en a décidé ainsi au printemps. "Nous avons trois églises pour 2 000 habitants ; sur l'année, le coût moyen d'entretien d'une église s'élève à 12 000 euros. La mairie n'a pas les moyens de financer les travaux de remise en état", constate simplement Bernard Briodeau.
L'élu reconnaît avoir fait face à "un choix difficile" mais, en dépit de l'opposition d'une partie de ces administrés, ne regrette pas "avoir mis le pied dans cette affaire". "Je comprends la charge symbolique de ce lieu ; mes propres enfants y ont été baptisés ! Mais cessons de parler de patrimoine", lance-t-il. "Le département compte plus de 300 églises de ce type. A Saint-Martin, seule la base date du XVe siècle et il n'a jamais été question pour nous de détruire cette partie-là !" La destruction de la partie haute de l'église coûtera "dans les 280 000 euros". Le maire est en quête de subventions.
A l'image de Valanjou, des milliers de communes rurales supportent la charge de lieux de culte construits avant la loi de 1905 et s'interrogent sur l'avenir de ces bâtiments. Le patrimoine cultuel français compterait de 40 000 à 100 000 édifices, dont 13 000 sont classés monuments historiques, selon le ministère de la culture. La politique de regroupements paroissiaux imposée ces dernières années par la baisse de la pratique religieuse a entraîné la fermeture totale ou partielle de centaine d'églises.
Pour autant, à peine une dizaine d'entre elles est directement menacée de destruction. Et quelques communes seulement sont passées à l'acte, reconstruisant souvent dans la foulée un lieu de culte mieux adapté à la population concernée. "Depuis une dizaine d'années, on constate que la destruction d'une église n'est plus un sujet tabou", relève quand même Alain Guinberteau, fondateur du site 40000clochers.com, qui effectue un recensement photographique des églises françaises.
L'Observatoire du patrimoine religieux (OPR), une association récente, qui milite activement pour la préservation des églises, estime "qu'un nombre important des 100 000 bâtiments religieux risque de tomber en déshérence dans les trente ans à venir". L'OPR, dont la présidente d'honneur est Bernadette Chirac, s'efforce, avec une poignée d'associations locales de défense du patrimoine, de populariser un sujet porteur d'une forte charge symbolique. Selon un sondage publié dans le magazine Le Pèlerin daté du jeudi 13 septembre, et rendu public mardi, lors d'un colloque organisé au Sénat dans le cadre des Journées juridiques du patrimoine, 67 % des personnes interrogées estiment en effet qu'il faut chercher "à préserver le plus grand nombre d'églises".
Dans certains endroits, le sujet donne lieu à des batailles juridiques sans fin entre association de défense et mairie. Fermée depuis près de vingt ans, l'église d'Arc-sur-Tille (Côte-d'Or) a été promise à la destruction par la mairie en 2005. Créée en 1991, l'association locale Une église pour Arc-sur-Tille (UEPA) s'efforce de sauver le bâtiment. Un ultime rapport d'expert est attendu pour le mois d'octobre. A Eréac (Côtes-d'Armor), c'est au sein même du conseil municipal que s'est manifestée l'opposition au projet porté par Elie Geffray, adjoint au maire et prêtre. "En 2004, au moment où des travaux sont devenus nécessaires sur l'église, j'ai proposé que ce lieu, restauré par des financements publics, puisse servir à toute la population et que l'on réserve la nef et les bas-côtés à des activités culturelles." L'idée a été rejetée à une voix près. "Aujourd'hui, on a un édifice cultuel remis en état, mais qui ne sert à rien. On y célèbre une messe tous les deux mois, un enterrement de temps en temps."
Avec d'autres responsables catholiques, M. Geffray reste pourtant persuadé que "donner une nouvelle affectation aux lieux de culte est la condition de leur survie", d'autant que la dégradation de centaines d'églises, bâties à la hâte au XIXe siècle pour affirmer l'emprise de l'Eglise catholique sur le territoire et aujourd'hui sous-utilisées, va s'accélérer dans les prochaines années. En France, une évolution à l'anglo-saxonne, avec la transformation d'édifices religieux en bâtiments privés aux fonctions les plus insolites - lofts, bars ou boîtes de nuit -, semble pourtant exclue. De même que la cession d'églises à d'autres cultes, comme ce fut le cas récemment en Angleterre, où une église méthodiste a été transformée en mosquée.
Au niveau national, les représentants de l'institution catholique préfèrent insister sur les efforts réalisés par les collectivités locales pour la préservation des églises ou sur la nécessaire application concertée de la loi de 1905. "La destruction d'églises est un épiphénomène", confie l'un des membres de l'épiscopat. "Leur avenir dépend de la manière dont la présence catholique peut être reconnue dans notre société", a estimé Mgr Claude Dagens, lors du colloque organisé au Sénat. Quant à l'éventuelle cession d'une église aux musulmans en quête de lieu de culte, "il n'en est pas question", confie l'évêque d'Angoulême, confronté à cette demande il y a quelques années. "Une affectation cultuelle est liée à l'histoire de manière durable : une église catholique est faite pour le culte catholique. Cela ne nous empêche pas de plaider pour la construction de lieux de culte musulmans décents."
L'église de mon village a été restaurés dans les années 90. Depuis, il n'y a pas d'entretien...Les cloches ne fonctionnent plus.
Il y a une messe par mois, le samedi soir... et un enterrement de temps en temps.
Des personnes qui y venaient à la messe ne font pas le déplacement pour aller ailleurs.
Il n'est pas question de la détruire, puisqu'elle ne présente aucun danger, mais ça viendra forcément un jour ou l'autre, et c'est triste!
Peut-on démolir des églises ?
LE MONDE | 12.09.07 | 14h25 • Mis à jour le 12.09.07 | 14h25
l n'est pas certain que les travaux débutent avant les élections municipales de mars 2008, mais le maire de Valanjou (Maine-et-Loire) est déterminé : la flèche et la chambre des cloches de l'église Saint-Martin-de-Joué seront détruites. Par seize voix contre une, le conseil municipal en a décidé ainsi au printemps. "Nous avons trois églises pour 2 000 habitants ; sur l'année, le coût moyen d'entretien d'une église s'élève à 12 000 euros. La mairie n'a pas les moyens de financer les travaux de remise en état", constate simplement Bernard Briodeau.
L'élu reconnaît avoir fait face à "un choix difficile" mais, en dépit de l'opposition d'une partie de ces administrés, ne regrette pas "avoir mis le pied dans cette affaire". "Je comprends la charge symbolique de ce lieu ; mes propres enfants y ont été baptisés ! Mais cessons de parler de patrimoine", lance-t-il. "Le département compte plus de 300 églises de ce type. A Saint-Martin, seule la base date du XVe siècle et il n'a jamais été question pour nous de détruire cette partie-là !" La destruction de la partie haute de l'église coûtera "dans les 280 000 euros". Le maire est en quête de subventions.
A l'image de Valanjou, des milliers de communes rurales supportent la charge de lieux de culte construits avant la loi de 1905 et s'interrogent sur l'avenir de ces bâtiments. Le patrimoine cultuel français compterait de 40 000 à 100 000 édifices, dont 13 000 sont classés monuments historiques, selon le ministère de la culture. La politique de regroupements paroissiaux imposée ces dernières années par la baisse de la pratique religieuse a entraîné la fermeture totale ou partielle de centaine d'églises.
Pour autant, à peine une dizaine d'entre elles est directement menacée de destruction. Et quelques communes seulement sont passées à l'acte, reconstruisant souvent dans la foulée un lieu de culte mieux adapté à la population concernée. "Depuis une dizaine d'années, on constate que la destruction d'une église n'est plus un sujet tabou", relève quand même Alain Guinberteau, fondateur du site 40000clochers.com, qui effectue un recensement photographique des églises françaises.
L'Observatoire du patrimoine religieux (OPR), une association récente, qui milite activement pour la préservation des églises, estime "qu'un nombre important des 100 000 bâtiments religieux risque de tomber en déshérence dans les trente ans à venir". L'OPR, dont la présidente d'honneur est Bernadette Chirac, s'efforce, avec une poignée d'associations locales de défense du patrimoine, de populariser un sujet porteur d'une forte charge symbolique. Selon un sondage publié dans le magazine Le Pèlerin daté du jeudi 13 septembre, et rendu public mardi, lors d'un colloque organisé au Sénat dans le cadre des Journées juridiques du patrimoine, 67 % des personnes interrogées estiment en effet qu'il faut chercher "à préserver le plus grand nombre d'églises".
Dans certains endroits, le sujet donne lieu à des batailles juridiques sans fin entre association de défense et mairie. Fermée depuis près de vingt ans, l'église d'Arc-sur-Tille (Côte-d'Or) a été promise à la destruction par la mairie en 2005. Créée en 1991, l'association locale Une église pour Arc-sur-Tille (UEPA) s'efforce de sauver le bâtiment. Un ultime rapport d'expert est attendu pour le mois d'octobre. A Eréac (Côtes-d'Armor), c'est au sein même du conseil municipal que s'est manifestée l'opposition au projet porté par Elie Geffray, adjoint au maire et prêtre. "En 2004, au moment où des travaux sont devenus nécessaires sur l'église, j'ai proposé que ce lieu, restauré par des financements publics, puisse servir à toute la population et que l'on réserve la nef et les bas-côtés à des activités culturelles." L'idée a été rejetée à une voix près. "Aujourd'hui, on a un édifice cultuel remis en état, mais qui ne sert à rien. On y célèbre une messe tous les deux mois, un enterrement de temps en temps."
Avec d'autres responsables catholiques, M. Geffray reste pourtant persuadé que "donner une nouvelle affectation aux lieux de culte est la condition de leur survie", d'autant que la dégradation de centaines d'églises, bâties à la hâte au XIXe siècle pour affirmer l'emprise de l'Eglise catholique sur le territoire et aujourd'hui sous-utilisées, va s'accélérer dans les prochaines années. En France, une évolution à l'anglo-saxonne, avec la transformation d'édifices religieux en bâtiments privés aux fonctions les plus insolites - lofts, bars ou boîtes de nuit -, semble pourtant exclue. De même que la cession d'églises à d'autres cultes, comme ce fut le cas récemment en Angleterre, où une église méthodiste a été transformée en mosquée.
Au niveau national, les représentants de l'institution catholique préfèrent insister sur les efforts réalisés par les collectivités locales pour la préservation des églises ou sur la nécessaire application concertée de la loi de 1905. "La destruction d'églises est un épiphénomène", confie l'un des membres de l'épiscopat. "Leur avenir dépend de la manière dont la présence catholique peut être reconnue dans notre société", a estimé Mgr Claude Dagens, lors du colloque organisé au Sénat. Quant à l'éventuelle cession d'une église aux musulmans en quête de lieu de culte, "il n'en est pas question", confie l'évêque d'Angoulême, confronté à cette demande il y a quelques années. "Une affectation cultuelle est liée à l'histoire de manière durable : une église catholique est faite pour le culte catholique. Cela ne nous empêche pas de plaider pour la construction de lieux de culte musulmans décents."
L'église de mon village a été restaurés dans les années 90. Depuis, il n'y a pas d'entretien...Les cloches ne fonctionnent plus.
Il y a une messe par mois, le samedi soir... et un enterrement de temps en temps.
Des personnes qui y venaient à la messe ne font pas le déplacement pour aller ailleurs.
Il n'est pas question de la détruire, puisqu'elle ne présente aucun danger, mais ça viendra forcément un jour ou l'autre, et c'est triste!
Cécile- moderateur
- Nombre de messages : 3181
Age : 82
Localisation : Saône et Loire
Date d'inscription : 26/05/2007
Re: Démolir des églises ?
Oui.....J'avais l l'article C'est assez attristant
Quand je vois en pleine campagne, toutes ces petites églises abandonnées et fermées, je ne peu m'empêcher de penser à un age d'or, pas si ancien, où chacune d'entre elle était animée par un bon prêtre et des brebis bien grasses.
Quand je vois en pleine campagne, toutes ces petites églises abandonnées et fermées, je ne peu m'empêcher de penser à un age d'or, pas si ancien, où chacune d'entre elle était animée par un bon prêtre et des brebis bien grasses.
Re: Démolir des églises ?
C'est vrai que c'est triste, en pensant à la foi, à la piété des anciens qui ont donné pour construire ces batiments.
J'avais connu une expérience intéressante, dans un petit village le maire avait autorisé une communauté mennonite à célébrer son culte dans le batiment ...
J'y avais assisté et pour qu'il n'y ait pas d'ambiguité, un voile de tissus avait été tendu entre le culte menonnite et le "tabernacle"..
Je pense que la foi va continuer. C'est juste que personne ne sait vraiment quelle forme elle va prendre... Il faut accepter l'idée d'être étonné..
J'avais connu une expérience intéressante, dans un petit village le maire avait autorisé une communauté mennonite à célébrer son culte dans le batiment ...
J'y avais assisté et pour qu'il n'y ait pas d'ambiguité, un voile de tissus avait été tendu entre le culte menonnite et le "tabernacle"..
Je pense que la foi va continuer. C'est juste que personne ne sait vraiment quelle forme elle va prendre... Il faut accepter l'idée d'être étonné..
Re: Démolir des églises ?
christianc a écrit:C'est vrai que c'est triste, en pensant à la foi, à la piété des anciens qui ont donné pour construire ces batiments.
J'avais connu une expérience intéressante, dans un petit village le maire avait autorisé une communauté mennonite à célébrer son culte dans le batiment ...
J'y avais assisté et pour qu'il n'y ait pas d'ambiguité, un voile de tissus avait été tendu entre le culte menonnite et le "tabernacle"..
Je pense que la foi va continuer. C'est juste que personne ne sait vraiment quelle forme elle va prendre... Il faut accepter l'idée d'être étonné..
Dans les Hautes Alpes, c'est un devoir pour les villageois d'entretenir les plus modestes des chapelles, même en haute-montagne et un honneur pour celui qui en possède. Chacune vit puisque on y organise un pélerinage ou une messe au moins une fois par an.
La Chapelle de Clausis, au dessus : le Pic de Château Renard et son observatoire.
On s'y rend à pied en priant deux fois par an, en particulier lors de la fête de Notre dame du mont Carmel. Cest à 2 300 m
Re: Démolir des églises ?
J'avais connu une expérience intéressante, dans un petit village le maire avait autorisé une communauté mennonite à célébrer son culte dans le batiment ...
N'est-ce pas plutôt l'évêque qui peut donner cette autorisation ?
N'est-ce pas plutôt l'évêque qui peut donner cette autorisation ?
Cécile- moderateur
- Nombre de messages : 3181
Age : 82
Localisation : Saône et Loire
Date d'inscription : 26/05/2007
Re: Démolir des églises ?
Dans les Hautes Alpes, c'est un devoir pour les villageois d'entretenir les plus modestes des chapelles, même en haute-montagne et un honneur pour celui qui en possède. Chacune vit puisque on y organise un pélerinage ou une messe au moins une fois par an.
Les petites chapelles n'étaient pas des églises paroissiales. Dans ma paroisse il y en a plusieurs, et même une église renommée (Saint Martin de Laives, que tout le monde peut voir de l'autoroute A6, en passant...). On y dit la messe une fois l'an... Comme elles sont petites, quelques artisans locaux et des bénévoles en assurent l'entretien, mais c'est différent...
Les petites chapelles n'étaient pas des églises paroissiales. Dans ma paroisse il y en a plusieurs, et même une église renommée (Saint Martin de Laives, que tout le monde peut voir de l'autoroute A6, en passant...). On y dit la messe une fois l'an... Comme elles sont petites, quelques artisans locaux et des bénévoles en assurent l'entretien, mais c'est différent...
Cécile- moderateur
- Nombre de messages : 3181
Age : 82
Localisation : Saône et Loire
Date d'inscription : 26/05/2007
Re: Démolir des églises ?
Dans certains coins de notre pays, on a désacralisé des églises pour les transformer en discothèques.
Je pense, dans ce cas, qu'il est bien mieux de les démolir.
Bien qu'alors, hélas, l'attrait de l'argent intervient souvent ...
Je pense, dans ce cas, qu'il est bien mieux de les démolir.
Bien qu'alors, hélas, l'attrait de l'argent intervient souvent ...
églises
Il faut garder nos monuments pour le retour du christ et le règne
à venir de marie, dans le royaume terrestre pour les mille ans de
paix
charles
à venir de marie, dans le royaume terrestre pour les mille ans de
paix
charles
charles- Passant
- Nombre de messages : 31
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Démolir des églises ?
Vous allez me trouver un peu bizz, mais je pense que nous sommes dans un temps d'espérance. Si on est chrétiens, ça ne peut être autre chose que l'espérance.
Oui, la réalité est à nos portes, c'est comme une guerre où les bâtiments se font détruire, une guerre davantage invisible. Et seul Dieu peut nous guider au travers de cette fumée épaisse. Cependant, nous savons que Dieu est maître de tous les coeurs à jamais. C'est davantage Dieu qui attend le retour de ses enfants que ceux qui pensent s'être éloigné de Dieu. (i.e. Enfant prodique) L'Église est un moyen, mais la plus belle Église est notre vie et la plus belle Cathédrale est notre coeur. Continuons d'être des Églises sur deux pattes et laissons Dieu nous guider au travers de ces épines qui cherchent à nous étouffer !
J'ai espérance. Jésus a dit que si le monde empêche les disciples de parler les roches se mettront à crier !
Oui, la réalité est à nos portes, c'est comme une guerre où les bâtiments se font détruire, une guerre davantage invisible. Et seul Dieu peut nous guider au travers de cette fumée épaisse. Cependant, nous savons que Dieu est maître de tous les coeurs à jamais. C'est davantage Dieu qui attend le retour de ses enfants que ceux qui pensent s'être éloigné de Dieu. (i.e. Enfant prodique) L'Église est un moyen, mais la plus belle Église est notre vie et la plus belle Cathédrale est notre coeur. Continuons d'être des Églises sur deux pattes et laissons Dieu nous guider au travers de ces épines qui cherchent à nous étouffer !
J'ai espérance. Jésus a dit que si le monde empêche les disciples de parler les roches se mettront à crier !
Thomas- Installé
- Nombre de messages : 184
Localisation : Québec
Date d'inscription : 03/06/2007
Re: Démolir des églises ?
Démolir des élgises ? Ils sont fous ! :panique: Ce ne sont pas seulement des témoins de la foi à travers les âges et des lieux de cuolte, c'est aussi notre patrimoine français et européen. Et en plus, ça fait partie de ces construction que le temps émousse à peine, contrairement aux constructions modernes qui seront en ruine dans moins d'un siècle...
Vraiment,
Vous direz ce que vous voudrez, notre époque marche vraiment sur la tête, et raisonne par les pieds...
Vraiment,
Vous direz ce que vous voudrez, notre époque marche vraiment sur la tête, et raisonne par les pieds...
Souricet- Invité
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