SIDA ET MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES (MST)
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SIDA ET MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES (MST)
DOCUMENTAIRE ARTE DE SEPTEMBRE 2006 (en 5 parties)
LES ORIGINES DU SIDA
Un documentaire exceptionnel.
Le vaccin contre la polio est le premier vaccin à être fabriqué à partir de reins de singes. Comment le fabrique-t-on ? Quels sont les différents types de vaccins anti-polio ?
POUR LIRE LA SUITE, CLIQUEZ SUR SPOILER
1ère PARTIE
2ème PARTIE
3ème PARTIE
4ème PARTIE
5ème PARTIE
LES ORIGINES DU SIDA
Un documentaire exceptionnel.
Le vaccin contre la polio est le premier vaccin à être fabriqué à partir de reins de singes. Comment le fabrique-t-on ? Quels sont les différents types de vaccins anti-polio ?
POUR LIRE LA SUITE, CLIQUEZ SUR SPOILER
- Spoiler:
- Pour faire un vaccin, on commence par faire une culture à partir de reins de singes puis il faut :
- Prélever un morceau de tissu rénal et le diviser avec une paire de ciseaux.
- Laisser reposer cette suspension pour faire une monocouche de cellules.
Ajouter le virus de la polio.
- Prélever ensuite le liquide de ces cultures.
- Filtrer pour enlever le reste des cellules. On obtient alors une suspension de virus.
Soit on l’inactive avec du formol, soit on l’affaiblit par des passages successifs dans des cultures de cellules.
Il existe deux types de vaccins :
1) Le vaccin inactivé et injecté de Jonas Salk. Il contient des particules de virus de la polio qui ont été tuées dans du formol. L’immunité qu’il confère est temporaire et nécessite trois injections successives. Pour fabriquer son vaccin, Jonas Salk utilise des reins de macaques Rhésus.
2) Les vaccins vivants atténués de Albert Sabin et de Hilary Koprowski. Ils contiennent des particules de virus de la polio qui sont vivantes, mais affaiblies au cours d’un long processus où l’on passe le virus dans des cultures de cellules, jusqu’à ce que sa capacité à déclencher la maladie disparaisse. Ce vaccin est administré par la bouche et est efficace dès la première prise. Les notes de laboratoires d’Albert Sabin attestent qu’il utilisait des reins de macaques Rhésus ou de macaques synomolgus. Hilary Koprowski a « perdu » toute documentation permettant de prouver l’espèce de singe qu’il a utilisée. Il nie avoir utilisé des chimpanzés.
La course au vaccin
Dans les années 50, les Etats-Unis sont en guerre contre la polio, ce fléau qui attaque les enfants. C’est le début d’une course au vaccin entre les plus grands scientifiques : Jonas Salk, Albert Sabin et Hilary Koprowski. Chronologie.
27 février 1950 :
Hilary Koprowski est le premier à tester son prototype de vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur un enfant américain de Letchworth village. 12 avril 1955 : Le vaccin de Jonas Salk est homologué. C’est un vaccin qui utilise un virus inactivé, autrement dit « tué » et qui nécessite trois injections.
Une campagne de vaccination de masse suit cette homologation aux Etats- Unis. 90 millions d’Américains seront vaccinés. 23 avril 1955 : Drame autour de la vaccination antipoliomyélite : 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk tombent malades, onze d’entre eux meurent. Des lots de vaccins provenant des laboratoires Cutter (en Californie) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant.
Mai 1955-1960 :
Ce drame relance la course au vaccin entre Albert Sabin, au Children’s Hospital Research Foundation (Cincinnati), et Hilary Koprowski, d’abord au Laboratoire Lederle (Pearl River, État de New York) puis au Wistar Institute de Philadelphie.
1958-1959 :
Albert Sabin teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d’enfants en URSS. 1957-1960 : Hilary Koprowski teste son vaccin expérimental « CHAT » sur 1 million d’Africains du Congo belge.
Novembre 1958 :
Albert Sabin analyse le vaccin « CHAT » de Hilary Koprowski et découvre qu’il est instable et contaminé par un virus inconnu. Novembre 1958 : L’OMS désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge.
Printemps 1960 :
Le vaccin oral d’Albert Sabin est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations de masse.
Durant l’été 1955, Hilary Koprowski et Ghislain Courtois, virologue et directeur du laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge), se rencontrent lors d’un colloque au Kenya et décident de créer un camp d’élevage de chimpanzés pour faire officiellement des recherches sur l’hépatite et la polio.
Chronologie. Hilary Koprowski et le Congo belge
1er mai 1956 :
Le projet aboutit : ouverture du Camp Lindi, situé en retrait de Stanleyville. Ghislain Courtois en est le directeur.
Janvier 1957 :
Plus de 200 chimpanzés sont déjà arrivés au Camp Lindi. Février 1957 : Ghislain Courtois reçoit Hilary Koprowski pour la première fois au Camp Lindi. Ils immortalisent cette visite par une photo « officielle » devant la pancarte du camp.
Mars 1957 :
Premières vaccinations de 4228 personnes avec le vaccin oral expérimental « CHAT » de Hilary Koprowski à Stanleyville.
1er mai 1957 :
Hilary Koprowski quitte les laboratoires Lederle à Pearl River dans l’État de New York (Etats-Unis) avec son vaccin oral expérimental « CHAT ». Il devient directeur du Wistar Institute à Philadelphie.
1er octobre 1957 :
Inauguration en présence de Hilary Koprowski, Ghislain Courtois et toute l’équipe des médecins belges du nouveau laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge). Ce laboratoire est immense et possède la technologie de pointe de l’époque.
26 décembre 1957 :
Deux ans et demi après l’ouverture du camp, Gilbert Rollais, le chasseur officiel du camp et son équipe de Pygmées ramènent le 401e chimpanzé au Camp Lindi.
1er février 1958 :
Fritz Deinhardt, spécialiste en cultures de tissus au Children’s Hospital de Philadelphie arrive à Stanleyville pour, officiellement, faire des recherches sur l’hépatite.
Du 24 février au 10 avril 1958 :
En l’espace de six semaines, 215 504 personnes sont vaccinées avec le vaccin « CHAT 10A11 » dans la vallée de la Ruzizi, frontière entre le Congo belge, le Rwanda et le Burundi.
Novembre 1958 :
L’OMS désapprouve les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge.
1959 :
Dans le cadre de leurs recherches, Joseph Vandepitte et Arno Motulsky font le tour du Congo belge et collectent 2000 échantillons de sang
humain.
En 1985, le chercheur André Nahmias découvrira que l’un de ces échantillons est positif au VIH... Juin 1960 : Indépendance du Congo belge. La situation politique entraîne la fermeture du Camp Lindi dans lequel il reste 50 chimpanzés. Au total, un million de personnes ont reçu le vaccin expérimental
La théorie du vaccin antipolio à l'origine de l'épidémie de sida est défendue par un journaliste britannique, ancien correspondant de la BBC en Afrique, Edward Hooper. Celui-ci publie aux États-Unis, en 1999, The River - A Journey to The Sources of HIV and Aids, un ouvrage de près de mille pages, fruit d'un travail d'enquête de plus de dix ans. Dans son livre, Hooper fait le lien entre le laboratoire de Stanleyville, au Congo belge, le camp Lindi - un camp d 'élevage de chimpanzés installé à proximité - et la recherche du virologue Hillary Koprowski sur l'hépatite et la polio menée sur place. Retour sur le contexte de ces recherches : dans les années cinquante, les États-Unis entrent dans une véritable course au vaccin contre la polio, une maladie qui touche les enfants. Jonas Salk, Albert Sabin et Hillary Koprowski, les plus grands scientifiques américains du moment, entrent en concurrence. Le vaccin de Salk est le premier écarté, celui de Sabin sera testé sur plus de 6 millions d 'enfants en URSS entre 1958 et 1960, et le vaccin « Chat » de Koprowski testé sur un million de jeunes Congolais. Au printemps 1960, c'est finalement le vaccin d'Albert Sabin qui sera homologué et utilisé dans le monde entier. Les notes de Sabin attestent qu'il utilisait des reins de macaques pour la fabrication de son vaccin atténué, ce qu'affirme également Koprowski aujourd 'hui. Mais rien ne le prouve (le chercheur affirme avoir perdu ses documents).
1ère PARTIE
2ème PARTIE
3ème PARTIE
4ème PARTIE
5ème PARTIE
Dernière édition par Joss le Jeu 18 Fév 2016 - 22:17, édité 7 fois
Re: SIDA ET MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES (MST)
Dans les années 80, un chanteur est mort du Sida à l'âge de 23 ans (j'ignore son nom, Franck quelque chose). C'était un métis franco-péruvien. A neuf ans, un homme l'avait dévoyé, lui apprenant le plaisir. Puis, adolescent, il est allé à Paris, a commencé à être connu dans le monde du spectacle, dans un milieu homosexuel. Depusi l'enfance, il aimait Dieu et le cherchait, il voulait l'atteindre à travers ses amours, il recherchait l'Amour à travers ses manifestations humaines.
Il amené cette existence durant quelques années. En 96, il annonce à un ami qu'il a le Sida. Sa maladie s'est prolongée toute une année, il souffrait terriblement. Il est allé d'hôpital en hôpital. Dans un des ces hôpitaux, un médecin lui a dit un jour brutalement : " Vous ne croyez pas que le sida est une punition de ce que vous avez fait..." Franck a répondu : "Non, c'est une grâce."
Il a été soigné dans le pavillon des lépreux. Les médecins et les infirmières, masqués et gantés, ne l'approchaient qu'"arnachés comme des cosmonautes". Les transfusions, les injections le transformaient en éponge. Tout ce qu'il a pu faire dans le domaine physique, tout ce qu'il appelait la débauche a été balayé par l'amour. La dévotion à la Sainte vierge tenait une place considérable dans sa vie. "Je suis crucifié", disait-il.
Il amené cette existence durant quelques années. En 96, il annonce à un ami qu'il a le Sida. Sa maladie s'est prolongée toute une année, il souffrait terriblement. Il est allé d'hôpital en hôpital. Dans un des ces hôpitaux, un médecin lui a dit un jour brutalement : " Vous ne croyez pas que le sida est une punition de ce que vous avez fait..." Franck a répondu : "Non, c'est une grâce."
Il a été soigné dans le pavillon des lépreux. Les médecins et les infirmières, masqués et gantés, ne l'approchaient qu'"arnachés comme des cosmonautes". Les transfusions, les injections le transformaient en éponge. Tout ce qu'il a pu faire dans le domaine physique, tout ce qu'il appelait la débauche a été balayé par l'amour. La dévotion à la Sainte vierge tenait une place considérable dans sa vie. "Je suis crucifié", disait-il.
Souricet- Invité
Re: SIDA ET MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES (MST)
Souricette a écrit:Dans les années 80, un chanteur est mort du Sida à l'âge de 23 ans (j'ignore son nom, Franck quelque chose). C'était un métis franco-péruvien. A neuf ans, un homme l'avait dévoyé, lui apprenant le plaisir. Puis, adolescent, il est allé à Paris, a commencé à être connu dans le monde du spectacle, dans un milieu homosexuel. Depusi l'enfance, il aimait Dieu et le cherchait, il voulait l'atteindre à travers ses amours, il recherchait l'Amour à travers ses manifestations humaines.
Il amené cette existence durant quelques années. En 96, il annonce à un ami qu'il a le Sida. Sa maladie s'est prolongée toute une année, il souffrait terriblement. Il est allé d'hôpital en hôpital. Dans un des ces hôpitaux, un médecin lui a dit un jour brutalement : " Vous ne croyez pas que le sida est une punition de ce que vous avez fait..." Franck a répondu : "Non, c'est une grâce."
Il a été soigné dans le pavillon des lépreux. Les médecins et les infirmières, masqués et gantés, ne l'approchaient qu'"arnachés comme des cosmonautes". Les transfusions, les injections le transformaient en éponge. Tout ce qu'il a pu faire dans le domaine physique, tout ce qu'il appelait la débauche a été balayé par l'amour. La dévotion à la Sainte vierge tenait une place considérable dans sa vie. "Je suis crucifié", disait-il.
Et oui........Je ne dis pas ça parceque je suis malade mais je le dis aussi parceque je suis malade :
la maladie est un mystère pour l'entourage comme pour le malade ou Dieu seul réside et a ses entrées. On devrait s'approcher de toute souffrance en se déchaussant comme moïse devant le buisson ardant.
Une "superbactérie" plus dangereuse que le SIDA
Une "superbactérie" sexuellement transmissible plus dangereuse que le SIDA
Les autorités sanitaires américaines ont mis en garde la population suite à deux cas de "superbactérie du sexe" à Hawaii. Cette superbactérie sexuellement transmissible serait une souche résistante de la gonorrhée. Les Centers for Disease Control and Prevention ont demandé au Congrès américain de dégager 50 millions de dollars afin de développer au plus vite un nouvel antibiotique afin de traiter cette souche résistante de la maladie. Le premier cas identifié aux Etats-Unis remonte à 2011 chez une jeune femme de l'île d'Hawaï.
Cette "superbactérie du sexe", appelée H041, a été découverte au Japon en 2011. Elle s'est ensuite répandue à Hawaii et a refait surface en Californie et en Norvège. Les médecins avertissent que cette souche de la gonorrhée est résistante aux antibiotiques et a le potentiel d'être aussi mortelle que le virus du sida.
La gonorrhée est la deuxième infection sexuellement transmissible la plus fréquente. "Celle-ci pourrait se révéler bien pire que le sida à court terme parce que la bactérie est plus agressive et touchera plus de gens et ce, beaucoup plus rapidement", met en garde le Docteur Alan Christianson.
Extrêmement dangereuse
Si près de 30 millions de personnes sont mortes de causes liées au sida, le docteur Christianson estime que l'effet de cette bactérie aura un impact bien plus direct: "Les gens qui contracteront cette souche de gonorrhée pourraient développer un choc septique mortel en quelques jours. Elle est donc extrêmement dangereuse".
Bien qu'aucun décès n'ait été signalé jusqu'à présent, les experts préfèrent mettre en garde immédiatement face aux risques de la maladie. "Les gens doivent se protéger et se faire tester en début de toute nouvelle relation", conseillent-ils.
Risques multiples
La gonorrhée est une maladie sexuellement transmissible connue depuis l'époque médiévale. Parfois appelée "chaude-pisse", cette infection peut entraîner des lésions douloureuses et des écoulements génitaux, des grossesses extra-utérine et la stérilité tant chez les hommes que chez les femmes. Si elle n'est pas traitée, la gonorrhée peut mener à une foule de complications et à des infections de la circulation sanguine. Elle représente également un risque plus élevé de transmission du sida car les lésions engendrées permettent plus facilement la transmission dans la circulation sanguine.
La maladie est devenue curable dans les années 1940 grâce à la pénicilline et à d'autres antibiotiques. Depuis lors, le monde médical a régulièrement dû créer de nouveaux médicaments car la gonorrhée ne cesse de muter et il existe une possibilité que tous les types de gonorrhée deviennent incurables d'ici 2015, selon certains spécialistes.
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1518/Sante/article/detail/1627498/2013/05/06/Une-superbacterie-sexuellement-transmissible-plus-dangereuse-que-le-SIDA.dhtml?show=react
Re: SIDA ET MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES (MST)
Arf : le déluge nouveau est arrivé !
doris- Membre actif
- Nombre de messages : 761
Date d'inscription : 01/10/2008
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