Jésus et les sommeliers !

D'abord, c'est le 1er miracle de Jésus : donner à boire du vin !!!

C'est aussi le seul qu'Il ait fait à la demande de sa Mère.

Et, contrairement à tous les autres miracles, il n'y avait pas de nécessité de santé comme dans les guérisons, ni le moindre démon à expulser.
C'était vraiment le miracle gratuit, qui a permis que la fête se déroule bien, son cadeau de mariage en quelque sorte...

Je n'y avais jamais vraiment réfléchi, mais je trouve super que son 1er miracle ait été festif

Cécile a écrit:
Je n'y avais jamais vraiment réfléchi, mais je trouve super que son 1er miracle ait été festif

Il devait être festif, comment en eût-il été autrement ? Il faut se souvenir ici de ce passage: "Les disciples de Jean et les pharisiens jeûnaient. Ils vinrent dire à Jésus: Pourquoi les disciples de Jean et ceux des pharisiens jeûnent-ils, tandis que tes disciples ne jeûnent point? Jésus leur répondit: Les amis de l’époux peuvent-ils jeûner pendant que l’époux est avec eux? Aussi longtemps qu’ils ont avec eux l’époux, ils ne peuvent jeûner. (Mc 2.18-19) L'incarnation du Verbe, c'est le temps des Noces de l'Agneau - du reste, oui, c'est merveilleux que Jésus ait changé en vin l'eau servant aux ablutions rituelles. Tout est changé !

etienne lorant a écrit:

Cécile a écrit:
Je n'y avais jamais vraiment réfléchi, mais je trouve super que son 1er miracle ait été festif

Il devait être festif, comment en eût-il été autrement ? Il faut se souvenir ici de ce passage: "Les disciples de Jean et les pharisiens jeûnaient. Ils vinrent dire à Jésus: Pourquoi les disciples de Jean et ceux des pharisiens jeûnent-ils, tandis que tes disciples ne jeûnent point? Jésus leur répondit: Les amis de l’époux peuvent-ils jeûner pendant que l’époux est avec eux? Aussi longtemps qu’ils ont avec eux l’époux, ils ne peuvent jeûner. (Mc 2.18-19) L'incarnation du Verbe, c'est le temps des Noces de l'Agneau - du reste, oui, c'est merveilleux que Jésus ait changé en vin l'eau servant aux ablutions rituelles. Tout est changé !

Oui ! Ca nous conduit en faisant un grrrand racourci, à :

Ecris : Heureux ceux qui sont invitésau festin des noces de l'Agneau! AP. 19

Il est vrai que le raccourci nous paraît grand, nous qui calculons le temps. Mais le Christ ne connaît pas ces restrictions. Par exemple, lorsqu'Il dit:
" Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n'arrive. » (Matthieu 24 : 32, Marc 13 : 30, Luc 21 : 32), il vient de citer
toutes les tribulations que le monde va endurer avant sa seconde venue.
A l'époque où je n'étais encore que sur le chemin de ma conversion, ce type de discours heurtait ma raison, mais c'était "avant"... depuis l'événement de ce dimanche du mois d'août 2005, ma propre perception du temps a subi une transformation subtile, mais tellement "efficace" ! Car certaines secondes ont duré une journée, certaines journées sont passées en une seconde, la conscience de l'instant est devenue essentielle. Jésus dit de lui-même: "Je suis l'Alpha et l'Omega, le commencement et la fin... celui qui est, qui était et qui vient". Certes, Il ne cesse pas de venir !

Le psalmiste ne nous enseigne-t-il pas que mille ans sont comme un jour ?
Vous dites :

Certes, Il ne cesse pas de venir !

J'ajouterai :

Je suis avec vous jusqu'à la fin des temps.

Si quelqu'un est intéressé par "les Noces de Cana", voici une occasion :

Prochain week-end : les noces de Cana

du samedi 16 octobre à 14h au dimanche 17 à 16h, ouvert à tout public. Pour en savoir plus : cliquez ici.



En plus, on fera connaissance!



L'hôtellerie est toute neuve, et l'accueil super sympa comme il se doit dans une abbaye bénédictine !



Je peux aller à la gare de Chalon, ou à la gare TGV du Creusot-Montchanin...

C'est un peu dommage, du moins de mon point de vue, que beaucoup de fidèles demeurent dans une conception si traditionnelle, si "linéaire" du temps. Est-ce l'esprit cartésien ? Mais en réalité, chacun d'entre nous pourrait rapporter des épisodes de sa vie où "le temps s'est comme arrêté". Les romanciers le disent ainsi. Moi, le 13 mai 2004, lorsque le Seigneur m'a délivré de ma tabagie, j'ai ressenti - toute une journée durant - que j'allais "craquer dans un instant", mais cet instant était tout autant déchirant à cause de la souffrance du manque... que rempli à craquer d'une Joie si pure... qu'elle l'emportait largement sur l'état de manque.J'ai conclu à la fin: "Dommage qu'on ne puisse pas arrêter de fumer plus souvent" ! ... tellement cette Joie était puissante, remplie de vie et d'amour...

Désolée, mon lien "cliquer ici" fonctionne bizarrement...

Il vaut mieux aller à la source : http://www.abbaye-veniere.fr/index.php