MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
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MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
On était en Mai . J'attendais Pierre, mon 3ème enfant pour début juillet.
Ma grossesse ne se déroulait pas bien : une grosse anémie et de grandes crises d'asthme (asthme que je trainais depuis l'age de 9 mois). Et puis un malaise et une fatigue indefiissables. Bref, ce n'était as la grande forme à tel point que j'ai demandé à mon mari de m'emmener à Lourdes (j'ai toujours eu une dévotion pour la Vierge Marie. Nous avons donc fait l'aller/retour en voiture, ce qui était très dangereux dans mon cas, je l'ai su plus tard.Je me suis donc
baignée dans la piscine.
De retour à Paris, le 8 mai, hémoragie, je pars en urgence à l'hôpital !
Le médecin qui nous reçoit et m'ausculte pronostique : placenta preavia recouvrant ! Il pose une main sur mon ventre et dit à mon mari, l'air grave "il y a la deux vies, on va essayer de conserver les deux, la mère et l'enfant. On la garde, il y a un danger d'hémoragie fatale à tout moment et si l'enfant naissait maintenant, il serait prématuré".
Je suis donc restée hospitalisée deux mois avec interdiction de mettre un pied par terre même pour la toilette et sous perfusion
Premier miracle : pas d'hémoragie - On fixe donc la date de la césarienne au 25 juin. Ce jour là, un qui-proco a permis à mon mari de descendre dans la salle d'opération et dans l'urgence, il a été contraint d'assister au début de la césarienne. C'est ainsi qu'il a pu me relater, en détail, ce qui c'était passé.
On a sorti tout de suite le bébé sans problème et on l'a placé dans la couveuse. Ensuite, ça a été la débacle : une hémoragie puis deux. Au fur et à mesure que le médecin arrêtait une hémoragie, une autre jiclait si ben que deux autres médecins sont venus à la rescousse pour colmater les jets de sangs.
Quand on m'a remontée dans ma chambre, j'allais très mal. Le médecin m'a dit "on fait tout de suite une analyse pour savoir quelle quantité de sang vous avez perdue et vous faire une transfusion". Or en 1990, il y avait encore des risques d'attraper le sida. Elle revient étonnée : l'examen de sang était presque normal.
Elle me dit "Ca peut arriver. Demain, très tôt, on fait à nouveau un examen, et là, on verra". Le lendemain matin, elle vient me voir étonnée : l'analyse de sang était encore meilleure (je rappelle qu'en plus, j'avais eu une grosse anémie). Elle me dit "on en refait une demain matin et là, on sera surs". Le lendemain matin, elle m'annonce le résultat : l'analyse était parfaite !
Je lui dit, amusée "vous savez, moi, je ne suis pas étonnée. Avant d'êntrer en urgence ici, j'ai fait l'aller/retour Paris/Lourdes pour me baigner dans la piscine du sanctuaire". Stupéfaite, elle m'a répondu "vous savez que je suis de Lourdes ?"
Elle était native de Lourdes et athée !
J'ajoute que si j'ai gardé une nature allergique, je n'ai jamais plus eu de crise d'asthme.
Nous sommes retournés à Lourdes pour remercier la Vierge Marie. C'était le jour des saints innocents. Le prêtre a demandé aux parents d'approcher près de l'autel avec les bébés pour les bénir. J'ai de nouveau reçu des graces, cette fois intérieures qui ont été des indications pour ma vie spirituelle
Ma grossesse ne se déroulait pas bien : une grosse anémie et de grandes crises d'asthme (asthme que je trainais depuis l'age de 9 mois). Et puis un malaise et une fatigue indefiissables. Bref, ce n'était as la grande forme à tel point que j'ai demandé à mon mari de m'emmener à Lourdes (j'ai toujours eu une dévotion pour la Vierge Marie. Nous avons donc fait l'aller/retour en voiture, ce qui était très dangereux dans mon cas, je l'ai su plus tard.Je me suis donc
baignée dans la piscine.
De retour à Paris, le 8 mai, hémoragie, je pars en urgence à l'hôpital !
Le médecin qui nous reçoit et m'ausculte pronostique : placenta preavia recouvrant ! Il pose une main sur mon ventre et dit à mon mari, l'air grave "il y a la deux vies, on va essayer de conserver les deux, la mère et l'enfant. On la garde, il y a un danger d'hémoragie fatale à tout moment et si l'enfant naissait maintenant, il serait prématuré".
Je suis donc restée hospitalisée deux mois avec interdiction de mettre un pied par terre même pour la toilette et sous perfusion
Premier miracle : pas d'hémoragie - On fixe donc la date de la césarienne au 25 juin. Ce jour là, un qui-proco a permis à mon mari de descendre dans la salle d'opération et dans l'urgence, il a été contraint d'assister au début de la césarienne. C'est ainsi qu'il a pu me relater, en détail, ce qui c'était passé.
On a sorti tout de suite le bébé sans problème et on l'a placé dans la couveuse. Ensuite, ça a été la débacle : une hémoragie puis deux. Au fur et à mesure que le médecin arrêtait une hémoragie, une autre jiclait si ben que deux autres médecins sont venus à la rescousse pour colmater les jets de sangs.
Quand on m'a remontée dans ma chambre, j'allais très mal. Le médecin m'a dit "on fait tout de suite une analyse pour savoir quelle quantité de sang vous avez perdue et vous faire une transfusion". Or en 1990, il y avait encore des risques d'attraper le sida. Elle revient étonnée : l'examen de sang était presque normal.
Elle me dit "Ca peut arriver. Demain, très tôt, on fait à nouveau un examen, et là, on verra". Le lendemain matin, elle vient me voir étonnée : l'analyse de sang était encore meilleure (je rappelle qu'en plus, j'avais eu une grosse anémie). Elle me dit "on en refait une demain matin et là, on sera surs". Le lendemain matin, elle m'annonce le résultat : l'analyse était parfaite !
Je lui dit, amusée "vous savez, moi, je ne suis pas étonnée. Avant d'êntrer en urgence ici, j'ai fait l'aller/retour Paris/Lourdes pour me baigner dans la piscine du sanctuaire". Stupéfaite, elle m'a répondu "vous savez que je suis de Lourdes ?"
Elle était native de Lourdes et athée !
J'ajoute que si j'ai gardé une nature allergique, je n'ai jamais plus eu de crise d'asthme.
Nous sommes retournés à Lourdes pour remercier la Vierge Marie. C'était le jour des saints innocents. Le prêtre a demandé aux parents d'approcher près de l'autel avec les bébés pour les bénir. J'ai de nouveau reçu des graces, cette fois intérieures qui ont été des indications pour ma vie spirituelle
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
Nous avons passé toutes nos vacances, pendant une dizaine d'années dans un petit village perdu au fin fond des hautes alpes, Sant Véran, où nous avions un petit chalet.
Je m'étais liée d'amitié avec ma plus proche voisine, Marie, qui habitait en contre-bas de mon jardin, de l'autre côté de la petite route qui s'arrêtait là, à 2 045m en faisant une boucle autour des fustes traditionnelles en mélèze du village.
Marie travaillait "à la boutique" de son mari où elle vendait les produits artisanaux traditionnels en bois (meubles et objets sculptés) que
fabriquaient comme beaucoup de villageois, son mari et son fils dans l'atelier familial.
Je la voyais, chaque matin, regagner la route qui montait vers la boutique en coupant à travers champs, dépassant à peine les herbes hautes,
d'une tête. J'avais installé un vieux banc en bois dans le jadin. Ainsi, quand elle redescendait au coucher du soleil, si elle en avait le temps, nous nous y installions, face à la montagne, pour nous faire, à l'abri de nos familles, des confidences toutes spirituelles. Nous nous retrouvions également dans la journée dès que c'était possible pour dire notre chapelet ensemble
Nous étions très heureuses de nous retrouver chaque été. Cela rompait sa solitude spirituelle car elle était isolée dans une famille athée et peu de gens dans le village avaient conservé la foi : un seul pretre pour tout le Queyras qui parcourait chaque jour des dizaines de kms pour aller de villages en villages, tel un colporteur, célébrer la messe, l'isolement du à la neige durant des hivers interminables....Même Marthe, la soeur de Marie, autrefois si pieuse, si mariale, avait épousé un brave garçon, certes, mais athé et avait perdu la foi et c'était une immense tristesse pour Marie. En contemplant la vie de Marie, j'ai souvent pensé qu'il y avait une forme d'héroïsme caché, une sorte d'exil au milieu du monde connu de Dieu seul et apparemment inutile aux yeux du monde.
Marie était très modeste, discrète, serviable, fidèle, effacée. Elle n'osait même pas lire la parole le dimanche malgré mes encouragements appuyés.... Elle aimait beaucoup la Vierge Marie. Elle avait ramené d'un pélerinage à Medjugorgé dont elle gardait un souvenir ébloui, un énorme poster de la Vierge Marie que son époux avait accepté d'afficher sur un des murs du salon. Le visage est dessiné de face, et semblait regarder la montagne. Je trouvais le poster trop grand pour la pièce, un peu trop voyant, personnellement, je préférais le buste de la Vierge Marie de L'Ile Bouchard...mais bon, chacun son gout....
J'appris, par un coup de fil de son mari, un 31 mai fête de la visitation, que le Seigneur l'avait "visitée". En descendant au sous-sol, elle s'était écroulée dans l'escalier et était morte, seule, sans bruit, sur le coup.
J'ai su que pendant ce dernier mois de mai qui avait précédé sa mort, Marie s'était soudain transformée : elle était devenue radieuse, joyeuse, lumineuse et était allée jusqu'à donner des conseils de sagesse aux uns et aux autres, elle d'ordinaire si effacée !
Notre contrée a su garder une tradition forte : celle de venir prier le chapelet autour de la personne décédée, un jour les femmes, un jour les hommes. On avait donc placé, pour ce faire, le cercueil de Marie dans la salle à manger, sous son cher poster de la Vierge Mare de Medjugorge. Ce jour là, il y avait Marthe et son mari, Sylviane la boulangère amie de Marie d'un tempérament dépressif et mon amie Marie-jo qui de bonne grace consentait à dire son chapelet.
Je dis "de bonne grace" car elle n'aimait pas prier le chapelet. Plusieurs fois, elle m'avait dit qu'elle avait sa façon de prier. Cela l'agaçait quand une personne lui faisait cadeau d'un chapelet, elle prenait ça un peu comme une provocation et m'avait dit "tu vois, je les mets là" en me désignant un tiroir qu'elle avait refermé bruyamment.
Donc, tout ce petit monde priait. Marthe, dans la désolation pleurait abondamment. A travers ses larmes, elle sent son mari lui donner de violents coups de coude. Elle lève la tete et voit son mari, dans le silence, lui faire un signe en direction du poster : la verge Marie ne regardait plus la montagne. Ses yeux baissés regardaient le cercueil de Marie.
Quand arrivées les vacances, Marthe vint me raconter ce prodige, je lui demandai si elle en avait parlé aux autres. Elle me répondit que non : c'était son secret (on est comme ça dans nos montagnes). Je partis donc voir Sylviane pour lui demander, si ce jour là, elle avait remarqué quelque chose d'insolite "oui -me dit-elle- la Sainte Vierge regardait Marie" !
0_Jn 12, 24
Je m'étais liée d'amitié avec ma plus proche voisine, Marie, qui habitait en contre-bas de mon jardin, de l'autre côté de la petite route qui s'arrêtait là, à 2 045m en faisant une boucle autour des fustes traditionnelles en mélèze du village.
Marie travaillait "à la boutique" de son mari où elle vendait les produits artisanaux traditionnels en bois (meubles et objets sculptés) que
fabriquaient comme beaucoup de villageois, son mari et son fils dans l'atelier familial.
Je la voyais, chaque matin, regagner la route qui montait vers la boutique en coupant à travers champs, dépassant à peine les herbes hautes,
d'une tête. J'avais installé un vieux banc en bois dans le jadin. Ainsi, quand elle redescendait au coucher du soleil, si elle en avait le temps, nous nous y installions, face à la montagne, pour nous faire, à l'abri de nos familles, des confidences toutes spirituelles. Nous nous retrouvions également dans la journée dès que c'était possible pour dire notre chapelet ensemble
Nous étions très heureuses de nous retrouver chaque été. Cela rompait sa solitude spirituelle car elle était isolée dans une famille athée et peu de gens dans le village avaient conservé la foi : un seul pretre pour tout le Queyras qui parcourait chaque jour des dizaines de kms pour aller de villages en villages, tel un colporteur, célébrer la messe, l'isolement du à la neige durant des hivers interminables....Même Marthe, la soeur de Marie, autrefois si pieuse, si mariale, avait épousé un brave garçon, certes, mais athé et avait perdu la foi et c'était une immense tristesse pour Marie. En contemplant la vie de Marie, j'ai souvent pensé qu'il y avait une forme d'héroïsme caché, une sorte d'exil au milieu du monde connu de Dieu seul et apparemment inutile aux yeux du monde.
Marie était très modeste, discrète, serviable, fidèle, effacée. Elle n'osait même pas lire la parole le dimanche malgré mes encouragements appuyés.... Elle aimait beaucoup la Vierge Marie. Elle avait ramené d'un pélerinage à Medjugorgé dont elle gardait un souvenir ébloui, un énorme poster de la Vierge Marie que son époux avait accepté d'afficher sur un des murs du salon. Le visage est dessiné de face, et semblait regarder la montagne. Je trouvais le poster trop grand pour la pièce, un peu trop voyant, personnellement, je préférais le buste de la Vierge Marie de L'Ile Bouchard...mais bon, chacun son gout....
J'appris, par un coup de fil de son mari, un 31 mai fête de la visitation, que le Seigneur l'avait "visitée". En descendant au sous-sol, elle s'était écroulée dans l'escalier et était morte, seule, sans bruit, sur le coup.
J'ai su que pendant ce dernier mois de mai qui avait précédé sa mort, Marie s'était soudain transformée : elle était devenue radieuse, joyeuse, lumineuse et était allée jusqu'à donner des conseils de sagesse aux uns et aux autres, elle d'ordinaire si effacée !
Notre contrée a su garder une tradition forte : celle de venir prier le chapelet autour de la personne décédée, un jour les femmes, un jour les hommes. On avait donc placé, pour ce faire, le cercueil de Marie dans la salle à manger, sous son cher poster de la Vierge Mare de Medjugorge. Ce jour là, il y avait Marthe et son mari, Sylviane la boulangère amie de Marie d'un tempérament dépressif et mon amie Marie-jo qui de bonne grace consentait à dire son chapelet.
Je dis "de bonne grace" car elle n'aimait pas prier le chapelet. Plusieurs fois, elle m'avait dit qu'elle avait sa façon de prier. Cela l'agaçait quand une personne lui faisait cadeau d'un chapelet, elle prenait ça un peu comme une provocation et m'avait dit "tu vois, je les mets là" en me désignant un tiroir qu'elle avait refermé bruyamment.
Donc, tout ce petit monde priait. Marthe, dans la désolation pleurait abondamment. A travers ses larmes, elle sent son mari lui donner de violents coups de coude. Elle lève la tete et voit son mari, dans le silence, lui faire un signe en direction du poster : la verge Marie ne regardait plus la montagne. Ses yeux baissés regardaient le cercueil de Marie.
Quand arrivées les vacances, Marthe vint me raconter ce prodige, je lui demandai si elle en avait parlé aux autres. Elle me répondit que non : c'était son secret (on est comme ça dans nos montagnes). Je partis donc voir Sylviane pour lui demander, si ce jour là, elle avait remarqué quelque chose d'insolite "oui -me dit-elle- la Sainte Vierge regardait Marie" !
0_Jn 12, 24
Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s'il meurt, il donne beaucoup de fruit.
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
Le père KOHN, curé de l'église de la trinité à Paris rencontre lors d'une session une personne qu'il ne connaissait pas qui lui fait cette étrange confidence :
Une de ses amie belge atteinte d'un asthme grave vient à Paris avec son mari pour consulter un professeur
Elle s'égare dans Paris et ne retrouve pas son mari. Comme il faisait froid, malade, inquiète, elle voit une église, pousse la porte pour s'y réfugier
Un des nombreux clodos qui traine toujours autour et dans l'église de la Trinité parcequ'un repas sympatique, concocté par des bénévoles, y est servi trois fois par semaine, l'aborde en lui demandant :
- "Bonjour ma p'tit' dame ! Tu n'aurais pas une petite pièce à me donner ?"
La dame fouille dans son porte monnaie. Il n'y avait en tout et pour tout qu'un billet de 50 F (c'était avant l'euro). Elle hésite car comment rejoindre l'hotel en taxi si elle ne retrouve pas son mari ? Et finalement, lui donne son unique billet
- "Merci ! Pour la peine, je vais faire une petite prière pour toi au Bon Dieu !"
Le lendemain, la dame était définitivement guérie
La personne qui a raconté cette histoire au père KOHN ignorait qui il était
Une de ses amie belge atteinte d'un asthme grave vient à Paris avec son mari pour consulter un professeur
Elle s'égare dans Paris et ne retrouve pas son mari. Comme il faisait froid, malade, inquiète, elle voit une église, pousse la porte pour s'y réfugier
Un des nombreux clodos qui traine toujours autour et dans l'église de la Trinité parcequ'un repas sympatique, concocté par des bénévoles, y est servi trois fois par semaine, l'aborde en lui demandant :
- "Bonjour ma p'tit' dame ! Tu n'aurais pas une petite pièce à me donner ?"
La dame fouille dans son porte monnaie. Il n'y avait en tout et pour tout qu'un billet de 50 F (c'était avant l'euro). Elle hésite car comment rejoindre l'hotel en taxi si elle ne retrouve pas son mari ? Et finalement, lui donne son unique billet
- "Merci ! Pour la peine, je vais faire une petite prière pour toi au Bon Dieu !"
Le lendemain, la dame était définitivement guérie
La personne qui a raconté cette histoire au père KOHN ignorait qui il était
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
Une amie de classe de PIERRE lui a raconté l'histoire suivante en réponse à sa question : "es-tu croyante ?"
Toute la famille de cette amie était athée à part un cousin versé dans le spiritisme et l'occultisme.
Un des membre de la famille décède. Peu après, toute la famille se retrouve à table dans la maison du décédé dont la place habituelle était vacante.
Tout-à-coup, la lumière s'éteint et se rallume et chaqun des membres de cette famille peut voir le décédé assis à sa place habituelle........TOUS sauf un : celui qui fait du spiritisme et de l'ésotérisme.
La conclusion : toute la famille est maintenant croyante et pratiquante.
Toute la famille de cette amie était athée à part un cousin versé dans le spiritisme et l'occultisme.
Un des membre de la famille décède. Peu après, toute la famille se retrouve à table dans la maison du décédé dont la place habituelle était vacante.
Tout-à-coup, la lumière s'éteint et se rallume et chaqun des membres de cette famille peut voir le décédé assis à sa place habituelle........TOUS sauf un : celui qui fait du spiritisme et de l'ésotérisme.
La conclusion : toute la famille est maintenant croyante et pratiquante.
Autorisation
Bonjour,
Je suis en train de finir un petit livre sur Marie dans la vie de tous les jours un peu dans l'esprit du livre que nous avons sorti il y a 2 ans (A quoi sert ma vie ?) avec des textes d'Evangile, des commentaires et des témoignages. J'ai trouvé votre témoignage très beau et simple de vérité de la présence de Marie à nos côtés. Pouvez-vous me donner l'autorisation de le reproduire dans mon petit livre . Pour vous donner une idée de ce que je veux en faire, je peux vous envoyer A quoi sert ma vie (qui se trouve aussi en vente sur internet au prix de 2euros50: on est sur de l'évangélisation de masse, 12000exemplaires vendus).
Dans l'attente de votre réponse.
Bien sincèrement
Xavier Riescher
Je suis en train de finir un petit livre sur Marie dans la vie de tous les jours un peu dans l'esprit du livre que nous avons sorti il y a 2 ans (A quoi sert ma vie ?) avec des textes d'Evangile, des commentaires et des témoignages. J'ai trouvé votre témoignage très beau et simple de vérité de la présence de Marie à nos côtés. Pouvez-vous me donner l'autorisation de le reproduire dans mon petit livre . Pour vous donner une idée de ce que je veux en faire, je peux vous envoyer A quoi sert ma vie (qui se trouve aussi en vente sur internet au prix de 2euros50: on est sur de l'évangélisation de masse, 12000exemplaires vendus).
Dans l'attente de votre réponse.
Bien sincèrement
Xavier Riescher
riescher- Invité
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
LE LIVRE :
A QUOI SERT MA VIE
Pourquoi pas..... Mais avant, j'aimerais en connaître un peu plus sur vous. Vous êtes lyonnais ?
A QUOI SERT MA VIE
Pourquoi pas..... Mais avant, j'aimerais en connaître un peu plus sur vous. Vous êtes lyonnais ?
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
beaux témoignages ! La conversion est aussi un miracle !
doris- Membre actif
- Nombre de messages : 761
Date d'inscription : 01/10/2008
suite autorisation
bonsoir,
Pouvez-vous me donner une adresse physique pour que je puisse vous envoyer le livre A quoi sert ma vie dont je vous ai parlé.
Si vous préférez me donner cette adresse par mail pour des raisons de confidentialité, vous pouvez l'envoyer à xriescher@free.fr.
Bien cordialement
Xavier
Pouvez-vous me donner une adresse physique pour que je puisse vous envoyer le livre A quoi sert ma vie dont je vous ai parlé.
Si vous préférez me donner cette adresse par mail pour des raisons de confidentialité, vous pouvez l'envoyer à xriescher@free.fr.
Bien cordialement
Xavier
riescher- Invité
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
l'e-mail que je viens de vous adresser m'a été retourné "Nous sommes au regret de vous informer que votre message n'a pas pu etre transmis a certains de ses destinataires."
Je vous donne le mien :
jo.louvatican@laposte.net
Je vous donne le mien :
jo.louvatican@laposte.net
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
Le père KOHN, curé de l'église de la trinité à Paris rencontre lors d'une session une personne qu'il ne connaissait pas qui lui fait cette étrange confidence :
Une de ses amie belge atteinte d'un asthme grave vient à Paris avec son mari pour consulter un professeur
Elle s'égare dans Paris et ne retrouve pas son mari. Comme il faisait froid, malade, inquiète, elle voit une église, pousse la porte pour s'y réfugier
Un des nombreux clodos qui traine toujours autour et dans l'église de la Trinité parcequ'un repas sympatique, concocté par des bénévoles, y est servi trois fois par semaine, l'aborde en lui demandant :
- "Bonjour ma p'tit' dame ! Tu n'aurais pas une petite pièce à me donner ?"
La dame fouille dans son porte monnaie. Il n'y avait en tout et pour tout qu'un billet de 50 F (c'était avant l'euro). Elle hésite car comment rejoindre l'hotel en taxi si elle ne retrouve pas son mari ? Et finalement, lui donne son unique billet
- "Merci ! Pour la peine, je vais faire une petite prière pour toi au Bon Dieu !"
Le lendemain, la dame était définitivement guérie
La personne qui a raconté cette histoire au père KOHN ignorait qui il était
Une de ses amie belge atteinte d'un asthme grave vient à Paris avec son mari pour consulter un professeur
Elle s'égare dans Paris et ne retrouve pas son mari. Comme il faisait froid, malade, inquiète, elle voit une église, pousse la porte pour s'y réfugier
Un des nombreux clodos qui traine toujours autour et dans l'église de la Trinité parcequ'un repas sympatique, concocté par des bénévoles, y est servi trois fois par semaine, l'aborde en lui demandant :
- "Bonjour ma p'tit' dame ! Tu n'aurais pas une petite pièce à me donner ?"
La dame fouille dans son porte monnaie. Il n'y avait en tout et pour tout qu'un billet de 50 F (c'était avant l'euro). Elle hésite car comment rejoindre l'hotel en taxi si elle ne retrouve pas son mari ? Et finalement, lui donne son unique billet
- "Merci ! Pour la peine, je vais faire une petite prière pour toi au Bon Dieu !"
Le lendemain, la dame était définitivement guérie
La personne qui a raconté cette histoire au père KOHN ignorait qui il était
Re: MIRACLES DANS NOS QUOTIDIENS
La personne qui a raconté cette histoire au père KOHN ignorait qui il était
Moi aussi je l'ignore...
Moi aussi je l'ignore...
Cécile- moderateur
- Nombre de messages : 3181
Age : 82
Localisation : Saône et Loire
Date d'inscription : 26/05/2007
mIRACLE DANS NOS VIES
Je vous remercie de vos témoignages si touchants et si poignants. J 'aurais à vous en donner sur MARTHE ROBIN et sur Saint Thérèse de l'enfant Jésus; MIREILLE
MARTHE- Invité
Miracles dans nos vies
Ayant 20 ans et voulant partir en AFRIQUE comme misssionnaire religieuse, j'ai d emandé à mes parents la permission de partrir. ca été des deux cotés, un refus catégorique Il y a 40 ans, on ne partait pas de la maison comme celà,il
fallait l'accord de nos chers parents. Etant toujours obstinée à partir en Afrique sans le consentement de mes chers parents, j'ai fait une retaite à Chateauneuf de Gallaure, et le
prete a qui j'en avais parlé, m'a dit allez donc voir MARTHE ROBIN; Donc, le RV, fut pris par le Père Finet auprès de MARTHE ROBIN jE fus poussée comme une pierre dans la chambre de Marthe Robin, on m'a expliqué plus tard au foyer qu'à partir de Vendredi, MARTHE subissait la passion du Christ, je dis bien subissais. Car pendant plus de trois jours, jusqu'à Dimanche, elle souffrait terriblement, suait du sang par la tete, et le Père Finet était dans tous ses états, car il croyait qu'à chaque passion, MARTHE était morte. Puisque son souffle était impercpetible, et la respiration presque inaudible; donc, je me mets à genoux au pied du lit, le lit étant très bas, et une petite voix tres gaie, me dit : Mireille je vous attendais, et là , chose extrordinaire, MARTHE m'a parlé de mes frères jumeaux, qui étaient sur le Clémenceau, et puis nous avons dit ensemble un je vous salue Marie. Puis ellle, m'a dit Mireille, vous n'etes pas faites pour etre religieuse, mariez vous. Donc, j'ai obéi. Et deux ans, plus tard je me mariais.Martrhe et le Seigneur ont bien vu, j'aurais fait une piètre religieuse missionnaire.Mais, celà, ne veut pas dire que j'ai abandonné, puisque qu'avec mon époux nous recevons des prètres africains et que ma meilleure amieest en centre afrique et qu'avec Internet nous prions ensemble. mireille;
fallait l'accord de nos chers parents. Etant toujours obstinée à partir en Afrique sans le consentement de mes chers parents, j'ai fait une retaite à Chateauneuf de Gallaure, et le
prete a qui j'en avais parlé, m'a dit allez donc voir MARTHE ROBIN; Donc, le RV, fut pris par le Père Finet auprès de MARTHE ROBIN jE fus poussée comme une pierre dans la chambre de Marthe Robin, on m'a expliqué plus tard au foyer qu'à partir de Vendredi, MARTHE subissait la passion du Christ, je dis bien subissais. Car pendant plus de trois jours, jusqu'à Dimanche, elle souffrait terriblement, suait du sang par la tete, et le Père Finet était dans tous ses états, car il croyait qu'à chaque passion, MARTHE était morte. Puisque son souffle était impercpetible, et la respiration presque inaudible; donc, je me mets à genoux au pied du lit, le lit étant très bas, et une petite voix tres gaie, me dit : Mireille je vous attendais, et là , chose extrordinaire, MARTHE m'a parlé de mes frères jumeaux, qui étaient sur le Clémenceau, et puis nous avons dit ensemble un je vous salue Marie. Puis ellle, m'a dit Mireille, vous n'etes pas faites pour etre religieuse, mariez vous. Donc, j'ai obéi. Et deux ans, plus tard je me mariais.Martrhe et le Seigneur ont bien vu, j'aurais fait une piètre religieuse missionnaire.Mais, celà, ne veut pas dire que j'ai abandonné, puisque qu'avec mon époux nous recevons des prètres africains et que ma meilleure amieest en centre afrique et qu'avec Internet nous prions ensemble. mireille;
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