Méditation 202: Les ouvriers de la Vigne (suite).
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Méditation 202: Les ouvriers de la Vigne (suite).
« Que pensez-vous de ceci ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : 'Mon enfant, va travailler aujourd'hui à ma vigne. Celui-ci répondit : 'Je ne veux pas.' Mais ensuite, s'étant repenti, il y alla. Abordant le second, le père lui dit la même chose. Celui-ci répondit : 'Oui, Seigneur !' et il n'y alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier ». Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu. Car Jean Baptiste est venu à vous, vivant selon la justice, et vous n'avez pas cru à sa parole ; tandis que les publicains et les prostituées y ont cru. Mais vous, même après avoir vu cela, vous ne vous êtes pas repentis pour croire à sa parole.» (Mt. 21,28-32)
Dans l’évangile de ce dimanche, comme d’ailleurs souvent dans cette période, on nous parle beaucoup de la Vigne.
La Vigne représente dans l’ancien testament le peuple d’Israël avec qui Dieu a fait Alliance.
Dans le nouveau testament, la Vigne, ce sont d’abord les chrétiens que nous sommes, avec qui Dieu réalise la nouvelle Alliance grâce au sacrifice de son fils.
Plus généralement, la Vigne c’est toute l’humanité à qui nous sommes chargés de témoigner de la bonne nouvelle et pour laquelle nous devons produire du bon fruit.
Plus concrètement, la Vigne, ça peut être la famille humaine où nous vivons, le couple que nous formons avec notre conjoint, le milieu de travail ou de vie dans lequel nous baignons, la paroisse dans laquelle nous vivons, etc...
Et Jésus nous le montre et nous le dit clairement : pour produire du bon fruit dans cette vigne, il n’y a qu’un moyen : nous devons faire la volonté du Père.
D’autre part, comme le disait Paul aux Galates, nous sommes appelés à devenir des femmes et des hommes libres, et non à demeurer des esclaves.
Suivre le Christ ce n’est donc pas abandonner notre volonté, car notre volonté fait partie de nous, comme notre intelligence et nos autres qualités humaines. Et notre volonté façonne notre liberté.
Mais suivre le Christ c’est purifier cette volonté pour l’amener peu à peu à se mettre profondément en accord avec celle du Père, comme Jésus l’a fait tout au long de sa vie.
Ainsi nous devenons libres tout en faisant la volonté du Père.
Ainsi nous produisons du bon fruit tout en nous libérant des chaines du péché qui nous emprisonnent.
Ainsi nous réalisons de mieux en mieux le double commandement d’amour envers Dieu et envers notre prochain : ce commandement s’inscrit toujours plus en nos cœurs et se réalise ainsi tout naturellement.
Texte de l'Association Pierre Valdès. Rédacteur principal: Eric.
Dans l’évangile de ce dimanche, comme d’ailleurs souvent dans cette période, on nous parle beaucoup de la Vigne.
La Vigne représente dans l’ancien testament le peuple d’Israël avec qui Dieu a fait Alliance.
Dans le nouveau testament, la Vigne, ce sont d’abord les chrétiens que nous sommes, avec qui Dieu réalise la nouvelle Alliance grâce au sacrifice de son fils.
Plus généralement, la Vigne c’est toute l’humanité à qui nous sommes chargés de témoigner de la bonne nouvelle et pour laquelle nous devons produire du bon fruit.
Plus concrètement, la Vigne, ça peut être la famille humaine où nous vivons, le couple que nous formons avec notre conjoint, le milieu de travail ou de vie dans lequel nous baignons, la paroisse dans laquelle nous vivons, etc...
Et Jésus nous le montre et nous le dit clairement : pour produire du bon fruit dans cette vigne, il n’y a qu’un moyen : nous devons faire la volonté du Père.
D’autre part, comme le disait Paul aux Galates, nous sommes appelés à devenir des femmes et des hommes libres, et non à demeurer des esclaves.
Suivre le Christ ce n’est donc pas abandonner notre volonté, car notre volonté fait partie de nous, comme notre intelligence et nos autres qualités humaines. Et notre volonté façonne notre liberté.
Mais suivre le Christ c’est purifier cette volonté pour l’amener peu à peu à se mettre profondément en accord avec celle du Père, comme Jésus l’a fait tout au long de sa vie.
Ainsi nous devenons libres tout en faisant la volonté du Père.
Ainsi nous produisons du bon fruit tout en nous libérant des chaines du péché qui nous emprisonnent.
Ainsi nous réalisons de mieux en mieux le double commandement d’amour envers Dieu et envers notre prochain : ce commandement s’inscrit toujours plus en nos cœurs et se réalise ainsi tout naturellement.
Texte de l'Association Pierre Valdès. Rédacteur principal: Eric.
ericz- Invité
en avent
texte de paul
Ce n'est pas la bonne volonté de base qui compte ni l'enthousiasme des débuts, mais même si on est mal partie au début comme les prostituées, c'est la volonté ferme de mettre en pratique la parole de Dieu et de se convertir dans sa vie tout les jours et dans tout les coins de notre vie.
Ce n'est pas la bonne volonté de base qui compte ni l'enthousiasme des débuts, mais même si on est mal partie au début comme les prostituées, c'est la volonté ferme de mettre en pratique la parole de Dieu et de se convertir dans sa vie tout les jours et dans tout les coins de notre vie.
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