MYSTERE D'ISRAËL
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MYSTERE D'ISRAËL
Le père Jean-Rodolphe KARS (un amour de prêtre ! d'origine juive
autrichienne.
Lorsqu'il était jeune homme, il était l'élève virtuose d'un mystique
catholique musicien, organiste à l'église de la Très Sainte Trinité à
Paris : Olivier MEISSIAN.
C'est à son contact qu'il s'est converti, est entré au séminaire pour
devenir prêtre de la Communauté de l'Emmanuel. Il est aujourd'hui
chapelain à PARAY LE MONIAL.
L'ELECTION D'ISRAEL
LA COMMUNION ENTRE L'EGLISE ET ISRAEL
APRES LE CHRIST, ISRAEL DEMEURE T'IL L'ELU
RABBIN HAÏM KORSIA
TABLE RONDE ANIMEE PAR PERE SAMUEL (Communauté saint Jean) ET LE RABBIN HAÏM KORSIA
En tant que chrétien, il est légitime de s’interroger sur Israël et la relation entre les chrétiens et les juifs.
En effet, Jésus était bel et bien juif. Ses parents, Marie et Joseph étaient des juifs. Lorsque Jésus était petit, sa famille allait au Temple de Jérusalem, le lieu le plus important pour les juifs. Plus tard, il commence à parler de Dieu à la synagogue, le lieu de rassemblement des Juifs de son village. Ceux qui le suivent, les disciples et les apôtres, étaient aussi des juifs. Son message était bien ancré dans la foi de son peuple. Souvent lorsqu’il parle, Jésus reprend les idées de Moïse ou des prophètes qui sont au cœur de la foi juive.
Le Christ et l’Eglise ont-ils une signification pour les juifs ?
Les chrétiens connaissent et servent Dieu par l’intermédiaire de Jésus Christ. Les juifs connaissent et servent Dieu par l’intermédiaire de la Torah et de la tradition juive. La Déclaration "Nostra Aetate" de Vatican II souligne que le Christianisme doit au peuple de la Première Alliance les colonnes mêmes de l'Eglise. La Déclaration du concile Vatican II souligne aussi que les dons de Dieu sont sans repentance et que, de ce fait, les dons faits par Dieu au peuple de la Première Alliance, les juifs, demeurent car Dieu est fidèle.
Que peuvent attendre les chrétiens et les juifs l’un de l’autre ?
Quant à savoir qui a tué Jésus-Christ, en réalité l'Eglise catholique rappelle une fois de plus dans "Nostra Aetate" que ce sont d'abord les péchés des hommes, de tous les hommes infidèles et pécheurs de tous les temps, qui ont crucifié Jésus Christ. Et même si, dans l'histoire de sa vie humaine, l’Evangile nous dit que Jésus fut condamné à mort par des autorités juives, Il ne l'a pas été par le peuple juif en général, mais par certains d'entre eux, et Il ne l'a pas été non plus par le peuple juif d'aujourd'hui. Ainsi, l'Eglise condamne toute mentalité antisémite comme absolument antichrétienne.
En tant que chrétien, il est légitime de s’interroger sur Israël et la relation entre les chrétiens et les juifs.
En effet, Jésus était bel et bien juif. Ses parents, Marie et Joseph étaient des juifs. Lorsque Jésus était petit, sa famille allait au Temple de Jérusalem, le lieu le plus important pour les juifs. Plus tard, il commence à parler de Dieu à la synagogue, le lieu de rassemblement des Juifs de son village. Ceux qui le suivent, les disciples et les apôtres, étaient aussi des juifs. Son message était bien ancré dans la foi de son peuple. Souvent lorsqu’il parle, Jésus reprend les idées de Moïse ou des prophètes qui sont au cœur de la foi juive.
Le Christ et l’Eglise ont-ils une signification pour les juifs ?
Les chrétiens connaissent et servent Dieu par l’intermédiaire de Jésus Christ. Les juifs connaissent et servent Dieu par l’intermédiaire de la Torah et de la tradition juive. La Déclaration "Nostra Aetate" de Vatican II souligne que le Christianisme doit au peuple de la Première Alliance les colonnes mêmes de l'Eglise. La Déclaration du concile Vatican II souligne aussi que les dons de Dieu sont sans repentance et que, de ce fait, les dons faits par Dieu au peuple de la Première Alliance, les juifs, demeurent car Dieu est fidèle.
Que peuvent attendre les chrétiens et les juifs l’un de l’autre ?
Quant à savoir qui a tué Jésus-Christ, en réalité l'Eglise catholique rappelle une fois de plus dans "Nostra Aetate" que ce sont d'abord les péchés des hommes, de tous les hommes infidèles et pécheurs de tous les temps, qui ont crucifié Jésus Christ. Et même si, dans l'histoire de sa vie humaine, l’Evangile nous dit que Jésus fut condamné à mort par des autorités juives, Il ne l'a pas été par le peuple juif en général, mais par certains d'entre eux, et Il ne l'a pas été non plus par le peuple juif d'aujourd'hui. Ainsi, l'Eglise condamne toute mentalité antisémite comme absolument antichrétienne.
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